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vendredi 15 novembre 2019

Marin des villes, Marin des champs


Ce matin a eu lieu une conférence sur le domaine de la photographie au cinéma. C'est Pascale Marin qui a mené cette conférence en expliquant son parcours et sa carrière et en répondant à nos questions.
A l'âge de 12 ans, elle a commencé à s'intéresser à la photographie et au cinéma. Elle a donc voulu en faire sa vocation en passant le concours de l'école Louis Lumière, qu'elle a réussi. Au bout de 3 ans, elle est devenue 2nde assistante dans des productions de films et petit à petit, elle a gravi les échelons. Ainsi, elle passe 1ère assistante pour finir par devenir directrice de la photographie. Ce métier consiste à recevoir des scenarii et choisir celui sur lequel elle souhaite travailler. Ensuite, elle va discuter avec le réalisateur pour comprendre son point de vue et ce qu'il souhaite transmettre. Puis, place au repérage et à l'évaluation du budget, du matériel et des équipes nécessaires. Une fois tout cela décidé et mis en place, on peut commencer le tournage !



Après ces quelques explications du métier, les jeunes festivaliers ont eu le droit de lui poser des questions. Celle qui a suscité le plus de débat était "quelles sont les trois qualités principales pour faire ce métier ?", ce à quoi elle a répondu qu'il fallait être tenace, curieux et savoir s'adapter facilement à toutes les situations.


Ce fut donc un atelier très instructif et très agréable à écouter. Merci à Pascale Marin pour ce moment.
Pascale Marin sur un tournage 


Thibault Martial et Lisa Peyrat


mercredi 13 novembre 2019

cérémonie d'ouverture

La cérémonie d'ouverture du 28ème festival du film de Sarlat a eu lieu le mardi 12 novembre à 19h dans la grande salle du Rex. Nos équipes ont pu y assister, voici un résumé.
La cérémonie a donc commencé par l'hommage à Joëlle Bellon, la créatrice du festival du film de Sarlat.

Hommage à Joëlle Bellon
La cérémonie continua par le discours du maire de la ville, suivi de celui du directeur du cinéma. Par la suite, le délégué général, Jean-Raymond Garcia, a évoqué les raisons du choix des films en compagnie du président Pierre-Henri Arnstam. Une fois ces discours terminés, Julie Gayet est montée sur scène suivie par Marion Tharaud pour présenter et faire signer la charte 50-50.

Le directeur du cinéma entouré du directeur général et du président
La cérémonie s'est terminée par la projection du film Proxima.


Présentation du film Proxima
Thibault Martial

mardi 12 novembre 2019

On ne devrait jamais quitter Angoulême

Les élèves du LISA (Lycée de l'Image et du Son d'Angoulême), en Terminale Littéraire et spécialisés dans les arts du cinéma, nous ont accordé du temps pour partager avec nous leurs aventures et leurs premières impressions sur la région et sur les films présentés au festival du film.

Nous avons interrogé Arthur, Nour, Maturin, Zoran et Angus.
Ces élèves viennent d'un lycée réputé d'Angoulême et ont supporté un trajet de plus 3h pour participer à ce festival, preuve de leur grande motivation !
Du lundi au vendredi,  ils seront logés dans des bungalows et assisteront, comme les étudiants des 24 autres établissements participants, à la projection de nombreux films et conférences.

photographie de Nour

photographie de Maturin

photographie d'Arthur

Que pensent-ils de notre région ? Ils sont unanimes pour dire que Sarlat est une ville magnifique et ancienne, le centre historique particulièrement attractif leur a plu. Nour a beaucoup aimé les "rues étroites et pavées, les façades en vieilles pierres et la mythique maison de La Boëtie". De plus, ils ont trouvé les Périgourdins extrêmement agréables et très accueillants (même si certains élèves ont connu quelques déboires).
Ils sont pour la plupart ravis de leur venue et ce n'est que le début... Leur semaine sera bien remplie entre conférences, projections de films et rencontres avec des professionnels.
En effet, les élèves devront rester passionnés car ils se lèveront toute la semaine à 7h, assisteront à environ 5 séances par jour et ne se coucheront au plus tôt qu'à minuit.

La plupart de ces étudiants interviewés ont le même avis sur les films La Pointe Courte et Sans Toit ni Loi de Agnès Varda : tout d'abord, Arthur pense que La Pointe Courte est un film qui représente la nouvelle vague. Bien que les plans ne soient pas vraisemblables, le rendu est très esthétique et c'est ce que souhaitait cette réalisatrice pour son premier long métrage.
Ensuite, Angus a évoqué la lenteur du film mais a tout de même souligné sa beauté.
Zoran, quant à lui, a donné un avis plus précis : "Ce film est humain et met en valeur des personnes lambda dans leur quotidien. Cela nous permet d'en apprendre plus sur eux. Les images sont parfaitement dessinées et les plans sont définis et bien construits".
Ils sont aussi en accord sur l'étrangeté des bruitages et du son, qu'ils ont jugé inadaptés.

Pour la projection de Sans Toit ni Loi, Maturin et Maël se sont empressés de nous décrire l'héroïne comme détestable et impolie. Au contraire, Angus a été le seul à la caractériser comme indépendante et simplement différente.
De plus, Nour a décrété (oui, décrété ! ) que ce film était intéressant  d'un point de vue sociétal car nous assistons à l'évolution des personnes devenant asociales. Il nous fait réaliser que nous pourrions les aider.
Contrairement au premier film, les avis sont plutôt partagés car certains l'ont apprécié et d'autres ont été excédés par le comportement du personnage principal, interprété par Sandrine Bonnaire.

Durant l'après-midi, ils ont assisté à trois autres séances : Cléo 5 à 7, Filmmakers et Proxima. Nous nous sommes quittés quelques minutes avant la projection de leur troisième film. Nous n'avons donc pas pu recueillir leur opinion.

Nous allons les suivre durant toute cette semaine de folie et ils partageront avec vous leurs avis, leurs émotions et leurs préférences.
Nous vous donnerons des nouvelles prochainement !

TO BE CONTINUED...


Léa Couderc et Maëlis Colombel

jeudi 15 novembre 2018

Film ton bac d'abord !

N'étant pas des spécialistes de cinéma et de ce film en particulier, difficile pour nous de rester concentrées pendant la conférence de Pascal Vimenet dans laquelle celui-ci fait une analyse du film du bac 2019 La tortue rouge de Michael Dudok de Wit. Nous avons interrogé quelques lycéens de terminales pour récolter leur ressenti vis à vis de ce moment.
Même fatigués par ces deux journées intenses de festival, ces futurs bacheliers ont trouvé intéressante la manière dont le conférencier a abordé le sujet. Mêlant analyses et comparaisons très instructives (robinsonnades, tableaux mythologiques et de la Renaissance), le conférencier n'a tout de même pas réussi à capter l'attention de tout le public. Même si certains nous ont confié s’être assoupis, la majeure partie a élargi sa culture générale et ses connaissances sur le sujet. 

 (Clara Lucas, Centre Culturel)

Assises aux côtés du réalisateur Michael Dudok De Wit, nous l'avons régulièrement aperçu en train d'acquiescer aux propos du conférencier. Preuve de l'intelligence et de la qualité du contenu de cet atelier. 
Avant de quitter la pièce il a confié à ses proches avoir passé un agréable moment.

Clara Lucas, Emma Sirey

Autant en emporte l'histoire

Revenons sur les règles imposées des petites séquences, car ce n'est pas aussi facile qu'on peut le penser ! 

En effet, les groupes doivent réaliser leur tournage en une demie-journée, tout comme le montage. 
Le décor, le lieu de tournage est uniquement la ville de Sarlat et il n'y a aucun tournage de nuit. La liberté est laissée pour les choix des costumes et accessoires, mais le festival ne fournit rien. 
Bien sûr, les élèves doivent apporter leur propre matériel (caméra, perche...) et les musiques utilisées sont préalablement enregistrées.  
Pour finir, les court-métrages seront projetés vendredi soir à 18h15 au centre culturel. 

Williams Crépin et les élèves de la Réunion sur le tournage.

Blanc De La Morinerie Ludivine, Brugues Mélanie

mercredi 14 novembre 2018

Sibel, si belle

Le festival du film de Sarlat est avant tout un festival pour les lycéens et a aussi pour but de faire découvrir un cinéma confidentiel, notamment grâce à la sélection Tour Du Monde.
Dans cette sélection, le film Sibel de Cagla Zencirci et Guillaume Giovanetti a largement été plébiscité par le festival de Locarno 2018 où il a raflé le premier prix. Le film dure 1h35 et est rediffusé vendredi à 21h45. Il a été réalisé en 4 ans.
On suit une jeune fille, Sibel, de 25 ans, muette qui utilise la langue ancestrale du village : le sifflement, pour communiquer. Cependant à cause de son handicap, les femmes la rejettent. Elle vit avec son père et sa petite sœur dans un petit hameau turque et conservateur bordé par la forêt. Pour se faire accepter, Sibel décide de tuer le loup qui terrorise la population, et tombe nez à nez avec un dangereux fugitif. 
Tous les spectateurs interrogés ont été conquis par cette histoire. Parmi les réflexions qui revenaient de manière récurrente, il y avait : "Ce film est incroyablement juste et complet ! Les femmes sont très dures  contrairement au père de l'héroïne très tendre mais faible. Le manque de musique n'était pas gênant puisque les sifflements se suffisent à eux-mêmes, ils nous bercent et nous transportent. C'était super !"


 Sibel, alias Damla Nmez
 De La Morinerie Ludivine, Brugues Mélanie


jeudi 16 novembre 2017

La vérité si je monte

Découvrez l'art du montage à travers l'oeil d'un passionné !


Aujourd'hui nous avons eu la chance d'assister à une conférence sur le montage animée par Hervé De Luze qui cumule plus de soixante-quinze longs métrages à son actif. Homme précieux pour les réalisateurs, il a participé au montage de nombreux films célèbres comme : Le pianiste, Oliver Twist, 24 heures dans la vie d'une femme...

Il nous confie qu'il travaille beaucoup par instinct, c'est-à-dire qu'il sait comment faire les choses mais pas pourquoi : tout vient par passion. Il ne sait pas pourquoi il a fait ce métier, mais il sait que c'est ce métier qui l'a choisi. 
Il nous a entre autres appris que le rythme est une facette très importante du montage : par exemple un film d'action nécessite beaucoup de découpages de scènes alors qu'un film lent se base sur la temporalité dramatique, étirer le temps pour montrer le désespoir.

Photo prise en pleine conférence

Un bon monteur sait s'adapter aux bons acteurs (et aux moins bons...), c'est comme ça qu'il transforme les défauts en "forme de style". Il sait jongler avec les différents procédés à sa portée tels que l'ellipse, la juxtaposition des plans et la musique. Lorsque le besoin s'en fait sentir, il peut faire preuve d'inventivité et d'innovation. Un bon monteur sculpte le temps en jouant avec la durée des plans.

Pour Hervé De Luze, le montage c'est la deuxième écriture du scénario.  Mais  le montage a ses limites : il peut "faire mais aussi défaire un film".

Et c'est sur cette phrase que la conférence prit fin nous laissant... sur notre faim.. (désolés) 

                              

    Sharon GABBAY, Simon HRYSZKIEWICZ, Lise DUMAS

His name is Bond, Bonduel !

Ce matin, le duo de choc Hugo et Martin a donné rendez-vous à Marc Bonduel, le délégué général du Festival (rien que ça !!!), afin de s'entretenir avec lui à propos de la sélection Tour du Monde et de son métier.

Marc Bonduel choisit chaque année les films de la sélection Tour du Monde. Pour lui, cet ensemble de films permet de faire découvrir les "perles du cinéma mondial" aux lycéens à qui ce Festival est dédié. La sélection est rude : des dizaines de films sont visionnées et seulement une vingtaine est retenueMarc Bonduel se base une grande diversité de critères pour établir son choix : la diversité de pays, l'émotion donnée par ce film ou encore les discussions qu'il peut amener. "Il faut que les films provoquent une discussion. Si, à la fin du film, il n'y a pas d'échange possible entre le public et l'équipe, je ne le sélectionne pas."

Mardi, à 16h15, était projeté dans la salle 4 du Rex, le film de la réalisatrice palestinienne Annemarie Jacir, Wajib. Nous l'interrogeons sur les raisons qui l'ont poussées à sélectionner ce film : "Wajib est un film sur la communication familiale, et c'est universel. Ce père utilise le prétexte qu'il ne peut pas distribuer tout seul les cartons d'invitation au mariage pour renouer des liens avec son fils : je trouve cette démarche magnifique."

Même s'il affirme n'avoir aucune préférence parmi les films sélectionnés, face à notre insistance, il consent à proposer trois films à voir cette année :
  • Florida Project qui est "juste incroyable et très abouti"
  • I am not a witch, un film zambien "qui ne ressemble à rien"
  • Makala, lui aussi un "film africain incroyable."
Marc Bonduel au Centre Culturel de Sarlat en 2015. @archives Arnaud Loth / Sud-Ouest
 

Pour écouter l'interview en entier: http://bit.ly/2mxUYPJ


Martin Malaurie, Hugo Pradellou.
(Le titre n'est pas de nous...)

mercredi 15 novembre 2017

Welcome to the darkside.

Tout au long du festival et en exclusivité nous vous proposons une série d'interview sur les gens de l'ombre. Sans eux, notre merveilleux Festival du film n'aurait pas lieu !

Aujourd'hui, nous vous présentons le métier de prestataire vidéo.  Pour cela nous avons demandé à un maître en la matière que, pour respecter son anonymat, nous nommerons "Dark Vador".

Dark Vador s'occupe de la captation vidéo ; cela va de la prise de vue sur un tournage de film à la prise de vue lors d'un concert. Ici sur le festival, il s'occupe de la transmission vidéo entre les salles durant les débats et les présentations des films. Il peut aussi capter le son en multipistes et ainsi recueillir un gros volume de données pour le montage d'un support que l'on peut  acheter ou télécharger. 

Il nous apprend qu'exercer son métier nécessite de l'endurance physique et  réveille notre coté insomniaque !


Le cerveau, les yeux et les oreilles du festival.
                                                              Lise DUMAS, Simon HRYSZKIEWICZ et Sharon GABBAY.

mardi 14 novembre 2017

Le réfugié

En ce premier jour de Festival, nous sommes allés à la rencontre de lycéens lors de la conférence au Centre Culturel.
Des scénaristes, des producteurs ainsi que plusieurs lycées étaient présents afin d'échanger leur travail sur les petites séquences.
Les petites séquences, ce sont des courts métrages que plusieurs groupes de lycéens vont réaliser, tourner, monter ici-même dans la semaine. 

Nous avons interviewé des élèves du Lycée Polyvalent Jérémie de la Rue de Charlieu.
Ils nous ont expliqué qu'ils étaient venus pour se renseigner sur les films de Charlie Chaplin, faire des connaissances, et découvrir les expériences des autres lycéens.

Cela fait déjà deux années consécutives que ce lycée est présent au Festival du film.

Leur petite séquence raconte l'histoire d'un clandestin Syrien qui essaie d'aller en Angleterre : il fuit donc la police et se réfugie chez une fleuriste qui pourrait peut-être l'aider.


Valentin, Thomas, Sarah et Chloé en interview avec Andréa, Cameron, Lou, Astrid, Elise et Monica.

Retrouvez cette interview sur le site de la radio du lycée : https://blogpeda.ac-bordeaux.fr/predeconnexion/
                                                                              

Sarah Blaya et Chloé Delpech

jeudi 10 novembre 2016

Des Hommes et des Dieux

Photo prise sur le site du cinéma rex de Sarlat
Dans une salle peuplée (presque) entièrement de personnes nées sous de Gaulle ou Vincent Auriol, notre reporter, expert du reportage en terrain gériatrique, a assisté à la projection du film russe "Le Disciple".
В русской школе, подросток, Веня ... Ha, petit problème de clavier. Reprenons. Donc, dans un lycée russe, le jeune Venia est pris dans les tourments d'une crise mystique et religieuse. Il se met à citer des versets bibliques toutes les deux répliques afin de justifier ses remontrances envers la société. Il se mettra donc à critiquer la tenue "indécente" des jeunes filles au cours de natation ; il se déguisera en gorille pour nier la théorie de l'évolution de Darwin et fera une action en cours d'éducation sexuelle que la décence et les bonnes mœurs m'interdisent de citer. 
Autour de ce jeune marginal, gravite une flopée de personnages tous plus lâches les uns que les autres. Seule la professeure de sciences physiques et de biologie tentera de s'opposer aux lubies fondamentalistes de Venia. Elle sera abandonnée par sa hiérarchie, son mari, et verra dans les paroles d'un pope la raison du mysticisme de l'ado. 
Car le film commence in media res, c'est-à-dire tout de suite dans l'action, ce qui veut dire que nous ignorons la raison qui a poussé celui qui était jusque-là normal à embrasser une foi aveugle et totalitaire.
C'est un excellent film, avec de brillants acteurs que nous propose de (re)découvrir le festival. A l'heure où les fous de Dieux pullulent, n'oublions pas que le fondamentalisme touche toutes les religions, y compris les plus proches de nous. Les questions de l'antisémitisme, de l'homosexualité, du droit des femmes à montrer leurs corps, le rejet des sciences "corrompues" contre la "Vérité" des Saintes Écritures, sont toutes abordées. Remarquons d'ailleurs l'étrange proximité entre les réponses apportées par Venia et celles des djihadistes.
                                                                                                Malik Henni

mercredi 9 novembre 2016

Brèves de comptoir

Chaque année, une série de courts métrages est présentée lors du festival.
Nous avons vu les cinq premiers.

Le premier, Périphéria, est un film d'animation qui met en scène des chiens noirs à l'abandon, dans un environnement urbain devenu sauvage aux couleurs donc très sombres (très joyeux comme décor!).
Le deuxième, Sabine, était nettement plus drôle car c'est l'histoire d'un homme qui tente de soigner son chagrin en réalisant des films d'un genre particulier avec peu de moyens (et beaucoup d'humour), vous l'aurez compris, on a assez apprécié.
Le troisième raconte l'histoire d'un enfant au nom de César (d'où le titre : L'histoire de l'enfant César), les personnages et l'histoire sont très touchants.
Le quatrième court métrage qui a pour titre Le dernier voyage de l'énigmatique Paul W.R raconte l'histoire d'un homme pouvant entendre les pensées des gens. Cet homme est le seul espoir pour sauver notre existence sur Terre.
Le dernier court métrage que nous avons regardé est Chasse Royale c'est l'histoire touchante et hors du commun d'une jeune fille de la banlieue de Valenciennes qui a une  famille nombreuse logée dans un appartement insalubre. Un jour, son collège lui propose de passer un casting.

Globalement nous avons bien aimé ces courts métrages, c'était un format très intéressant car il ne laisse pas le temps de s'ennuyer.
Tout comme les gens qui vont voter pour ces courts métrages, nous avons établi notre podium :
1ère place : Chasse Royale


2ème place : Sabine


3ème place : Le dernier voyage de l'énigmatique Paul W.R
 


 

Marie-Lou Cosse et Pauline Malet-Bouvet

Les saveurs du palais

Miam, je suis sûre qu'en tant que petits gourmands, le festival est votre lieu de dégustation favori : à Sarlat il n'y a pas que le foie gras !
 
Le personnel culinaire au centre culturel bout de tous les côtés telle une cocotte minute sifflante. Ce sont les agents du lycée Pré de Cordy qui assurent ce service quotidien.
Pendant le festival tout est décuplé : le personnel et bien évidemment les quantités de plats cuisinés !
600 lycéens et autant d'organisateurs, ça en fait, des bouches à nourrir !
 
Les journées passent à une telle allure qu'ils peuvent à peine souffler. Pauvres cordons-bleus... Ils n'ont même pas le temps de profiter d'un petit film ou d'une petite rencontre...
 
Ils ont quand même du courage, de servir tous ces ados affamés et pressés !
 
Mais au fait, les lycéens, ils mangent quoi, eux ?
On a pu se rendre compte, en se promenant dans la traverse, que les étudiants favorisent la restauration rapide (sandwichs, burgers, salades, viennoiseries) s'ils ne vont pas se régaler au centre culturel.
 
Et vous aussi, vous êtes affamés, à force d'arpenter à toute allure notre jolie ville ? Et vous, avez-vous le temps de souffler pendant le festival ? Et vous, vous êtes plutôt quoi ? Cantine ou sandwichs ? On attend vos réponses en commentaire !
 
Et surtout, un tas d'applaudissements pour nos cordon-bleu du festival qui nous régalent !


http://collinances.com/2014/03/a-table/
 
Lola-Marie Tomassetti

lundi 7 novembre 2016

On est de retour!

                                                       
L’équipe du blog du Festival du film du lycée de Sarlat revient pour une nouvelle année. Nous sommes une équipe de 11 lycéens déterminés et espérons que nous allons vous faire vivre cet événement au plus près.
 
Cette année le thème du Festival est le film du monde et plus précisément, le film indien. Pendant près d'une semaine, nous allons couvrir cet événement et chercher dans tous les recoins de Sarlat les producteurs, les acteurs, les chauffeurs ou même les simples spectateurs pour vous faire découvrir ou redécouvrir l'ambiance de ce festival du film de Sarlat aux couleurs de Bollywood!
 
 
Même le badaud s'intéresse au festival
 
 
Marie-Lou Cosse et Pauline Malet-Bouvet
 
 
 
 
 
 
 
 
 

mardi 10 novembre 2015

L'arroseur arrosé

A peine arrivés au centre culturel, cœur du festival, que nous voilà déjà sollicités par un journaliste pour répondre à une interview. Des journalistes interviewés, le comble non ?

Guillem photogtaphiant ses nouveaux collègues

Guillem, journaliste à l'Essor Sarladais depuis 4 ans, nous demande de répondre à ses questions. Plutôt flattés d'être interviewés, nous acceptons de livrer tous nos secrets. 

Comment avons-nous été choisis ?
Évidemment, c'est grâce à nos splendides lettres de motivations que nous avons réussi à intégrer la meilleure des équipes de journalistes de Sarlat.
Il nous pose ensuite plusieurs questions sur notre mode de fonctionnement... (Guillem ne saurait-il pas comment fonctionne un blog?)
Vient notre tour de lui poser des questions sur son travail de journaliste (questions auxquelles il nous répondra très gentiment). Il se charge de trouver des informations dans les différents points chauds du festival. Comme nous, en fait!
La discussion se poursuit mais nous devons couper court pour assister à la rencontre des lycéens avec leur scénariste, qui va les accompagner pour la réalisation de leurs petites séquences. On a du travail, nous!

Alice CORLOSQUET, Anthonin IRAGNE