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vendredi 15 novembre 2019

Médecins malgré eux

Venus faire la promotion de leur nouvelle comédie Docteur ?, les acteurs Hakim Jemili (qui nous a accordé un court entretien) et Michel Blanc (qui a donné une conférence de presse à laquelle nous avons assisté en présence d'autres journalistes) ont répondu à nos questions. Pour eux, cette comédie représente un moyen de faire rire en transmettant des émotions sur des situations médicales parfois difficiles. Hakim Jemili nous confie même que selon lui, ce film est "la meilleure comédie française de l'année" (rires). Tourné en seulement 37 jours, ce long métrage est, selon ce que nous dit Michel Blanc, plein d'improvisation. Il nous révèle également que c'est une preuve que ce duo fonctionne bien puisque, grâce à leurs différences, ils jouent mieux, ils sont donc complémentaires. En tant qu'acteurs, ils doivent savoir s'adapter à tous genres de situations et ce n'est pas parce qu'on joue un assassin qu'on devient un assassin ! Le comble de ce film, c'est que Michel Blanc qui incarne ici un médecin est, dans la vraie vie hypocondriaque ! 

Bref... au fur et à mesure de la conférence de presse, Michel Blanc dévie sur le sujet de l'humour et arrive ainsi à nous donner son opinion sur l'évolution de celui-ci. Pour lui, l'humour d'aujourd'hui "s'autocensure". C'est-à-dire que maintenant, avant de faire une blague, on est obligé de réfléchir pour savoir si elle n'est pas raciste, antisémite, misogyne, etc... Le second degré est en train de disparaitre, ce qui est dommage...

Pour le mot de la fin, Hakim Jemili nous a donné comme conseil de suivre notre propre route et de ne pas se fier à ce que disent les  professeurs... Maintenant à vous de juger si c'est un bon conseil... ou pas !


Michel Blanc et Hakim Jemili après la projection de Docteur ? au cinéma Rex


©Thibault Martial
                         









Lisa Peyrat

mercredi 13 novembre 2019

Une femme d'exception

Mardi 16h30, Marion Tharaud entre dans le hall de l'hôtel Renoir où nous l'y attendons. Tout de suite disponible et chaleureuse, elle nous accorde une entrevue d'une vingtaine de minutes. Ce n'est pas en sa qualité de distributrice de films que nous l'entretenons aujourd'hui mais pour son rôle au sein du collectif 50/50. 
C'est en effet elle qui s'est chargée hier soir de faire signer la Charte sur la Parité et la Diversité à Jean-Raymond Garcia et Pierre-Henri Arnstam au cinéma Rex. Sarlat est le cent-deuxième festival à signer cette Charte à travers le monde depuis  la première signature à l'édition 2018 du Festival de Cannes. 

Nous l'avons questionnée sur l'origine du collectif et avons appris avec étonnement qu'il existait depuis 2013 sous le nom de "deuxième regard". L'association manquait de visibilité jusqu'à ce que l'affaire Weinstein propulse l'égalité hommes/femmes dans le monde du cinéma dans la sphère médiatique. L'objectif du collectif est de faire prendre conscience des inégalités afin de faire bouger les lignes, notamment dans le milieu de la réalisation. 
Lorsque nous lui avons parlé d'Agnès Varda, la réalisatrice mise à l'honneur cette année, Marion Tharaud nous a confié beaucoup aimer son travail et le regard libre qu'elle portait sur sa génération. Selon elle, ce qui ressort le plus du travail d'Agnès Varda, c'est son humilité. 
Pour la distributrice, l'engagement féministe tient en deux principes clés: la sororité et  la nécessité des hommes dans ce combat. En effet, il est essentiel que les femmes se serrent les coudes, s'entraident et se soutiennent. Mais il ne faudrait surtout pas exclure les hommes. Elle insiste sur ce fait en répétant qu'il faut qu'ils comprennent qu'ils ont "tout à gagner". Ils pourraient enfin se détacher du cliché de l'homme fort, insensible et dur. Un exemple à suivre !

Marion Tharaud à l'hôtel Renoir

Alice Kneblewski
Faustine Felez

L'arroseur arrosé

Hier matin, une équipe de France 3 Aquitaine nous a suivis au cours de notre première réunion ainsi que durant les interviews que nous avons effectuées. Notamment celle avec Blandine Bollier, la directrice du cinéma. Durant cet échange, les caméras nous ont filmées, et en être aussi près est sacrément déstabilisant !

Vous pouvez retrouver ces images durant l'émission du JT du 12 novembre dès 18h50.



en pleine interview


Alice Kneblewski
Faustine Felez

vendredi 16 novembre 2018

Tel est pris qui croyait prendre

En attendant le deuxième photo call de la journée, la photographe officielle du festival du film voulait prendre des photos de jeunes festivaliers. Nous voulions nous décaler, pour ne pas être dans le champ de vision mais elle nous a demandé de poser avec les autres jeunes. Après quelques photos, elle a demandé qui avait eu un autographe sur un sac donné pour l'occasion du festival. Heureusement, Célia en avait un. Bilan : un shooting photo complet pour cette dernière.

Emmanuelle Thiercelin et Célia en plein shooting

Mathieu Chiotti et Célia Mezergues

L'Arroseur arrosé

En attendant la conférence du film Amanda, au cinéma de Sarlat, nous nous sommes fait interroger par une journaliste de Sud Ouest. Elle nous a demandé ce que nous avons pu penser des films que nous avons vus. Mathieu a ensuite eu droit à un shooting intégral ! Il s'est découvert une nouvelle passion : le mannequinat. Résultat à voir sur le journal ou sur le site internet de Sud Ouest.

Mathieu se faisant prendre en photo par une journaliste

Mathieu Chiotti et Célia Mezergues

jeudi 15 novembre 2018

Ma 6T a craqué


Des journalistes de Sud-Ouest et d'autres médias sur les marches du Renoir

Les journalistes en attente de l'équipe du film Le gendre de ma vie en plein shooting... d'eux mêmes par eux-mêmes.
Se mettront-ils en première page ?
Mathieu Chiotti, Célia Mezergues