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dimanche 17 novembre 2019

cérémonie de clôture

C'est ce samedi 16 novembre au soir que se termine le 28 éme festival du film de Sarlat. Cette soirée débute par les remerciements Pierre-Henri Arnstam, d'Arnaud Vialle accompagnés de ceux de Jean Raymond Garcia et Pierre-Henri Arnstam.

discours de Jean Raymond Garcia                     © Thibault Martial

Après ces quelques mots, place à la remise des prix : 

  • la salamandre d'or est attribuée à...  Les Eblouis de Sarah Suco 
  • le prix d’interprétation féminine pour...  Céleste Brunnquell (Les Eblouis
  • le prix d’interprétation masculine pour ...  Grégory Montel (Les Parfums)
  • et le prix des lycéen est attribuée à...  Docteur ? 

La cérémonie de clôture se termine par la présentation du film Papi Sitters de Philippe Guillard en présence du réalisateur, et des comédiens Olivier Marshall et Gérard Lanvin.

Olivier Marchal, Gérard lanvin et le producteur Philippe Guillard                ©Thibault Martial



Merci à tous d'avoir suivi notre blog pendant cette semaine de festival. Toute l’équipe vous remercie et à l'année prochaine!!!

La fine équipe, de gauche à droite : Maëlis Colombel, Thibault Martial, Lisa Peyat, Alice Kneblewski, Jules Ripoll Dausa, Faustine Felez, Léa Couderc, Léa Bordas, Léa Vieillevoye, Asma Karodia, Mylena Froidefond, Alice Delbos, Chloé Mieszala

Thibault Martial

vendredi 15 novembre 2019

Marin des villes, Marin des champs


Ce matin a eu lieu une conférence sur le domaine de la photographie au cinéma. C'est Pascale Marin qui a mené cette conférence en expliquant son parcours et sa carrière et en répondant à nos questions.
A l'âge de 12 ans, elle a commencé à s'intéresser à la photographie et au cinéma. Elle a donc voulu en faire sa vocation en passant le concours de l'école Louis Lumière, qu'elle a réussi. Au bout de 3 ans, elle est devenue 2nde assistante dans des productions de films et petit à petit, elle a gravi les échelons. Ainsi, elle passe 1ère assistante pour finir par devenir directrice de la photographie. Ce métier consiste à recevoir des scenarii et choisir celui sur lequel elle souhaite travailler. Ensuite, elle va discuter avec le réalisateur pour comprendre son point de vue et ce qu'il souhaite transmettre. Puis, place au repérage et à l'évaluation du budget, du matériel et des équipes nécessaires. Une fois tout cela décidé et mis en place, on peut commencer le tournage !



Après ces quelques explications du métier, les jeunes festivaliers ont eu le droit de lui poser des questions. Celle qui a suscité le plus de débat était "quelles sont les trois qualités principales pour faire ce métier ?", ce à quoi elle a répondu qu'il fallait être tenace, curieux et savoir s'adapter facilement à toutes les situations.


Ce fut donc un atelier très instructif et très agréable à écouter. Merci à Pascale Marin pour ce moment.
Pascale Marin sur un tournage 


Thibault Martial et Lisa Peyrat


Maman j'ai raté Camille Cottin

  11h30, première tentative : Camille Cottin est au téléphone dans la rue. Croyant que l'appel prendra vite fin, nous la suivons pour l'interpeler. Au bout de quelques mètres, nous constatons que le coup de fil s'éternise et nous renonçons. 

  11h50, deuxième tentative :  Chloé et Asma essaient de l'approcher et de lui adresser la parole. Malheureusement, elle n'a pas le temps et doit partir. 

  17h20, troisième et dernière tentative : nous réussissons à l'interroger pendant quelques minutes avant sa conférence avec les festivaliers. Voici les questions que nous lui avons posées :

  Nous : "Votre rôle dans Les Eblouis change beaucoup de ceux dans lesquels nous avons l'habitude de vous voir. Comment avez-vous ressenti ce changement de registre ?"
 Camille Cottin : "J'ai déjà beaucoup joué de rôles dramatiques au théâtre donc ce n'est pas une nouveauté. Ce sont les personnages et les situations qui changent, pas le jeu. C'est le travail de l'acteur de s'y adapter."

  Nous : "La réalisatrice mise à l'honneur pour cette 28ème édition est Agnès Varda. Dans ce cadre nous avons vu des réalisatrices, souhaiteriez-vous un jour passer de l'autre côté de la caméra ? 
  C. C : "Pas pour le moment, j'aime beaucoup collaborer avec les réalisateurs mais cette fonction ne m'attire pas plus que ça."

  Nous : "Aviez-vous déjà  travaillé avec un membre de l'équipe ?"
  C. C : "Oui je connaissais déjà Sarah Suco. Nous avons fait du théâtre ensemble il y a quelques années."

  Nous : "Comment s'est déroulé le tournage ?"
  C.C : "Très bien. Étant donné que j'avais déjà travaillé avec la réalisatrice, je me sentais à l'aise. Le feeling est bien passé avec toute l'équipe."

Avant de partir, elle nous a invitées à aller l'écouter à la conférence qui suivra la projection de ce soir. 

Faustine Felez
Alice Kneblewski
Camille Cottin après l'avant-première

jeudi 14 novembre 2019

3 petits chats

L'aventure c'est l'aventure chapitre II

Enfin l'interview avec Julie Gayet peut avoir lieu...

Interview avec Julie Gayet et Mathieu Busson                                                                         ©Thibault Martial


D'où vient l'idée Visages villages ? 
L'actrice nous répond que cette idée vient du travail d'Agnès Varda : en effet Agnès avait envie de faire ce voyage et Rosalie, sa fille qui est productrice, lui a fait découvrir JR. Ainsi, ce périple est tiré de cette rencontre.

Pourquoi être co-productrice ? 
Pour accompagner les réalisateurs, être leur regard extérieur. La difficulté était de trouver de l'argent même si Agnès Varda était quelqu'un de connu. Julie Gayet dit d'Agnès Varda et de Rosalie qu'elles sont pour elle une "famille" et rajoute qu'elle considère Agnès Varda comme sa "maman du cinéma". Une fois le film fini, Julie Gayet a aidé à programmer le film au festival de Cannes.

Document scénarisé ? 
Le film n'était pas entièrement scénarisé, ils avaient prévu des voyages, mais ils improvisaient en fonction des emplois du temps de l'un et l'autre, comme une fabrication en train de se faire. Le documentaire est plus ou moins écrit "mais s'écrit en se faisant". Tout au long de Visages villages, des références à Godard sont faites, notamment à la fin, qui n'en est pas vraiment une. 

Un message ?
Le message ne vient pas d'elle mais d'Agnès Varda ; pour elle le cinéma est  une œuvre poétique et dans Visages villages elle avait vraiment envie de  quelque chose qui ressemble à la célèbre comptine "marabout, bout de ficelle" c'est-à-partir de "partir, d'aller dans une ville, d'avoir une idée, de rebondir, d'aller ailleurs"... enfin bref de suivre JR. Au travers de ce voyage, Agnès voulait raconter ce qui se passe entre une personne comme elle qui est en train de perdre la vue, de vieillir, plutôt vers la fin de sa vie et un jeune homme au début de sa vie et qui pourrait être son petit-fils. Dans le film, ils sont tous deux photographes dans le domaine du street art. Julie Gayet nous confie également que ce qu'elle aime c'est que le film peut parler "à vous comme à ma grand-mère" (rires).


Julie Gayet présentant Visages villages                                     ©Thibault Martial

 Léa Viellevoye et Lisa Peyrat

"merci pour tout Arnaud"

Avant d'arriver au cinéma, nous ne savions pas comment faire pour tenter d'assister à la cérémonie d'ouverture. Honnêtement, nous pensions ne pas parvenir à entrer dans la salle... Mais comme on le dit souvent, "qui ne tente rien n'a rien" ! Une fois dans le hall, nous avons eu la très grande chance de  croiser le directeur du cinéma, M. Arnaud Vialle. Alors, Thibault s'est approché de lui et lui a demandé d'assister à la séance d'ouverture pour prendre des photos afin d'alimenter notre blog. Celui-ci a accepté avec plaisir et nous a laissés visionner toute cette séance en haut de la salle. Encore une fois, merci beaucoup M. Vialle : nous lui avons dit que c'était génial et par la même occasion, nous lui avons demandé la permission d'assister aux projections les soirs suivants, ce qu'il a accepté de nouveau ! Cela prouve donc bien que le festival est fait pour les étudiants et que tous les adultes tentent de nous aider au maximum pour vivre des expériences plus extraordinaires les unes que les autres.

M.Arnaud Vialle directeur du cinéma Rex                              ©Thibault Martial  



Lisa Peyrat et Thibault Martial

mercredi 13 novembre 2019

cérémonie d'ouverture

La cérémonie d'ouverture du 28ème festival du film de Sarlat a eu lieu le mardi 12 novembre à 19h dans la grande salle du Rex. Nos équipes ont pu y assister, voici un résumé.
La cérémonie a donc commencé par l'hommage à Joëlle Bellon, la créatrice du festival du film de Sarlat.

Hommage à Joëlle Bellon
La cérémonie continua par le discours du maire de la ville, suivi de celui du directeur du cinéma. Par la suite, le délégué général, Jean-Raymond Garcia, a évoqué les raisons du choix des films en compagnie du président Pierre-Henri Arnstam. Une fois ces discours terminés, Julie Gayet est montée sur scène suivie par Marion Tharaud pour présenter et faire signer la charte 50-50.

Le directeur du cinéma entouré du directeur général et du président
La cérémonie s'est terminée par la projection du film Proxima.


Présentation du film Proxima
Thibault Martial

A fond

LES CHAUFFEURS, ce côté obscur du festival du film méconnu du grand public.
 Notre mission ? comprendre qui ils sont.
Bingo ! mardi 12 novembre nous parvenons à en trouver un.
Voici l'histoire de Daniel : chauffeur bénévole depuis 7 ans pour le festival du film de Sarlat il est accompagné par neuf autres chauffeurs tous retraités sauf un qui est père de famille et qui utilise ses vacances pour répondre aux besoins des stars (acteurs, réalisateurs...).
En sept ans de métier, ce gentil monsieur en a vu passer des stars, les anecdotes sont donc nombreuses. En voici une :

Story time:
Il y a deux ans, Pierre Niney et Charlotte Gainsbourg ne voulaient pas sortir de la voiture car il faisait trop froid.
Notre chauffeur a alors passé 20 minutes à discuter avec eux, quelle vie !

Le super chauffeur et son bolide !
Thibault Martial

mardi 12 novembre 2019

Le Saint-Graal

Le mantra de notre semaine, notre mois, notre vie est : Parité hommes-femmes ! Dans le domaine du cinéma, elle est peu existante. C'est pourquoi la première personne que nous voulions interviewer était une femme. Dans notre recherche désespérée, nous avons finalement rencontré Blandine Bollier, la directrice du Rex, qui a gentiment accepté de répondre à nos questions.
Cela fait huit ans qu'elle travaille dans le milieu du cinéma et elle trouve que le sujet de l'égalité est aujourd'hui médiatique et qu'il est possible de débattre dessus. C'est pourquoi, d'après elle, tout le monde a le droit de réagir, les femmes concernées par le mouvement #MeToo, tout comme les femmes de "La  Tribune des cent femmes". Néanmoins, Blandine Bollier a déjà été témoin de situations critiques comme par exemple des hommes n'adressant pas la paroles aux femmes sur un lieu de travail. Ce témoignage montre son positionnement par rapport à l'importance de ce débat dans lequel tout le monde peut se sentir concerné et touché. La parité est un thème qui tient à cœur à la directrice, de par son genre et ses convictions.
Blandine Bollier
Alice Kneblewski
Faustine Felez

vendredi 16 novembre 2018

Un jour sans fin

Encore une fois, à 13h nos reporters sont sur le front, prêts à dégainer pour avoir les meilleures photos du "photo call". Nous ne savons plus qui est en face de nous, quelle heure il est, quel jour on est, où nous sommes, qui nous sommes... Nous savons juste quelle est notre mission : prendre en photo les gens en face de nous. Après quelques renseignements, nous découvrons qu'il s’agit de Mikahël Hers et Vincent Lacoste en promotion du film Amanda. La mission se poursuit à 18h30...


 
Mikhaël Hers et Vincent Lacoste au photo call

Mathieu Chiotti et Célia Mezergues

Tel est pris qui croyait prendre

En attendant le deuxième photo call de la journée, la photographe officielle du festival du film voulait prendre des photos de jeunes festivaliers. Nous voulions nous décaler, pour ne pas être dans le champ de vision mais elle nous a demandé de poser avec les autres jeunes. Après quelques photos, elle a demandé qui avait eu un autographe sur un sac donné pour l'occasion du festival. Heureusement, Célia en avait un. Bilan : un shooting photo complet pour cette dernière.

Emmanuelle Thiercelin et Célia en plein shooting

Mathieu Chiotti et Célia Mezergues

La guerre des photos

Ce nouveau photo call s'est déroulé ce vendredi matin à 12h30. Nous avons eu droit à différentes poses du groupe qui représente le film L'incroyable histoire du facteur Cheval. Une nouvelle fois, tout le monde doit se démarquer pour avoir les regards des réalisateurs ou encore des acteurs. Ça crie de tous les côtés "Par ici !" "Non, non par ici !" "Non, juste  cinq minutes ICI pantalon rouge !". 

Au secours, les invités ont le tournis !

Nils Tavernier et ses producteurs dont Alexandra Fechner en plein photo call 

Mathieu Chiotti et Célia Mezergues

L'Arroseur arrosé

En attendant la conférence du film Amanda, au cinéma de Sarlat, nous nous sommes fait interroger par une journaliste de Sud Ouest. Elle nous a demandé ce que nous avons pu penser des films que nous avons vus. Mathieu a ensuite eu droit à un shooting intégral ! Il s'est découvert une nouvelle passion : le mannequinat. Résultat à voir sur le journal ou sur le site internet de Sud Ouest.

Mathieu se faisant prendre en photo par une journaliste

Mathieu Chiotti et Célia Mezergues

Epic - La bataille du Renoir

Comme prévu notre équipe spéciale "photo call" était au rendez-vous à 19h au Renoir. Sur place l'organisation vrille  et la guerre s'engage car de nuit, les photos se font dans le couloir. Bien décidés à obtenir leurs photos, nos invincibles photographes se positionnent rapidement dans la bataille. Cliché après cliché, ils résistent face à l'armée de journalistes. Pour finalement revenir avec leur trophée que voici !

Camille Chamoux et Patrick Cassir dans les couloirs du Renoir
 
Mathieu Chiotti et Célia Mezergues

jeudi 15 novembre 2018

Total photo call

Nouvelle opportunité offerte à notre duo de blogueurs ! Après le "photo call" de mardi du film Edmond grâce à une écoute de conversation, aujourd'hui un calcul de départ de taxi leur permet d'avoir un horaire d'arrivée et une approximation du "photo call". Tous au Renoir pour voir les acteurs du film Le gendre de ma vie !
13h : arrivée au Renoir
13h10 : nouvelle rencontre avec Pierre Niney
13h30 : apparition des journalistes 


Rassurés le duo attend patiemment l'arrivée des acteurs fier de leur calcul... Encore 45 longues minutes d'attente avant de voir enfin Julie Gayet sortir de sa voiture après 5h de trajet depuis Avignon. Le reste de l'équipe arrive peu de temps après. Un nouveau "photo call" s'offre à notre duo de veinards.
Après 400 photos de l'équipe du film, nous repartons ravis. Mais notre duo ne va pas s'arrêter là, rendez-vous pour un nouveau "photo call" à 19h !

de gauche à droite : François Dessagnat, Pauline Etienne, Kad Merad et Julie Gayet
Mathieu Chiotti et Célia Mezergues

Ma 6T a craqué


Des journalistes de Sud-Ouest et d'autres médias sur les marches du Renoir

Les journalistes en attente de l'équipe du film Le gendre de ma vie en plein shooting... d'eux mêmes par eux-mêmes.
Se mettront-ils en première page ?
Mathieu Chiotti, Célia Mezergues

Le Gendarme En Balade

Notre «QG» se situant juste à côté de la gendarmerie sarladaise, nous passons, repassons et rerepassons devant cette cour, plus ou moins remplie, des dizaines de fois par jour.
Comment ne pas remarquer l’absence de voitures de gendarmes en ce 13 novembre !
Mais où sont-ils donc tous passés ?


Afin de comprendre comment la securite du festival allait etre mise en place, nous sommes allés à la recherche d’un agent disposé à répondre à nos quelques questions. Nous voilà donc partis dans les rues de Sarlat proches du Rex et du centre culturel où étaient regroupés tous les lycéens.
3 heures après… retour au «QG» les mains vides, sans réponse et insatisfaits.

Le devoir les attendait sûrement sur nos routes. Dans tous les cas, le calme et la sérénité règnent à Sarlat en ce début de semaine.
Peut-être établissaient-ils une stratégie pour gérer l’éventuelle foule en furie à venir ?
Léa COSSARDEAUX
Lucas VIRGO
Morgan BOYER


mercredi 14 novembre 2018

Mais où sont les festivaliers ? Journée 2

Mission numéro 2 : suite du reportage photo à la recherche de la moindre activité dans le Festival du Film de Sarlat. Les matinées restent très calmes...

Les rues sont si calmes, que sans en être informés, on ne peut pas deviner qu'il y a un festival du film. 
Seuls quelques MANCAV tournent un court métrage dans la traverse de Sarlat.


Pour la suite de la journée les activités ont été plus dynamiques avec la rencontre de Pierre Niney et Anaïs Demoustier à la caserne des pompiers pour leur film Sauver ou périr.




Cette rencontre fut brève mais très chaleureuse, Pierre Niney et Anaïs Demoustier sont des acteurs accessibles car ils répondent aux nombreuses questions des Jeunes Sapeurs Pompiers. Tous les deux sont très sensibles aux métiers à risques.

  Sofian Agodi & Elodie Pourchet

mardi 13 novembre 2018

Les Beaux Gosses

SOLIVERES Thomas, BOUJENAH Lucie, MICHALIK Alexis et LEEB Tom 
posant pour les photographes

Devant l'équipe du film Edmond, la réaction de Célia fut, le moins qu'on puisse dire.... enthousiaste : 

"Ils sont trop beaux gosses les gens !!!"


 Théorie rapidement validée par le reste du groupe.

Mathieu Chiotti, Célia Mezergues, Loïs Cottaz et Louane Gavard

Celles qui murmuraient à l'oreille des blogueurs

Lors d'une interview effectuée à l'hôtel Le Renoir, Célia et Mathieu ont entendu "à 16h30". Mais qu'est ce qu'il va se passer à 16h30 ?

Nous nous sommes alors tous les quatre dirigés vers l'hôtel afin d'éventuellement voir ou même participer à un événement à cette heure précise. Des photographes se préparaient et nous nous demandions pourquoi, lorsque l'équipe du film Edmond est sortie du bâtiment. Composée d'Alexis Michalik, Thomas Soliveres, Tom Leeb et Lucie Boujenah, ils ont posé pour les photographes. 

Nous avons eu le temps de prendre plusieurs clichés, les journalistes nous ont bien accueillis, et même pris en photo. A croire que les lycéens de Pré de Cordy sont des stars...

Moralité : toujours laisser traîner une oreille ! 
 
Thomas Soliveres, Lucie Boujenah, Alexis Michalik, Tom Leeb (photo de Loïs)

Le trio d'Edmond (photo de Célia)


GAVARD Louane, CHIOTTI Mathieu, MEZERGUES Célia, COTTAZ Loïs