dimanche 15 novembre 2015

Nous C Nous

Nous sommes Vendredi, le temps est gris, les derniers articles tombent.
La semaine s'achève et c'est avec regrets et tristesse que nous allons devoir remettre nos badges de privilégiés à nos professeurs et retourner à nos tristes vies monotones. Cette semaine fut forte en émotions : des rencontres inattendues, des liens qui se sont créés, des coups de gueules aux câlins, des courses effrénées pour avoir nos interviews et de nombreux rendez-vous. Malgré la fatigue nous sommes tous d'accord pour dire que c'est une expérience extraordinaire dont on se souviendra sans doute toute notre vie. Nous sommes ravis de vous avoir plongés avec nous dans le cœur du festival. Et c'est le cœur serré que nous vous disons au revoir, et souhaitons d'avance à la prochaine équipe du blog beaucoup de belles expériences et un très beau festival!!!

Remerciements à: Mme HUGUET, Mme JELOWICKI, Mme FUMAT, M D'ALOISE, M BOISSON ainsi que M BLAYA nos encadrants sans qui le blog n'existerait pas.

 Remerciements aussi à nos informateurs dans la place: Mme D'ALOISE et Mme SAMSON ainsi qu'à tous ceux que nous avons rencontrés.

Photo penchée spéciale Tara ! Cherchez l'intrus !


Tous les blogueurs de la 24ème édition du Festival du Film de Sarlat
De droite à gauche en partant du bas : Emma Laroque, Anthonin, Timothée, Clara, Alice, Margot, Clémence, Emma Lacoste, Léo, Charlotte, Chloé, Aurélien, Sara, Tara, Louis et Paulin

Alice CORLOSQUET et Léo EL AYADI

PS : Nous sommes tous seuls, tandis que l'aspirateur résonne, que les lumières s'éteignent et que les autres blogueurs nous ont lâchement abandonnés pour aller voir le film avec Orelsan et Gringe... Snif..

samedi 14 novembre 2015

Petites séquences : chapitre final

Hier soir, c'est avec grande impatience que nous nous rendons au centre culturel pour assister à la projection des petites séquences.

La salle n'est pas pleine mais l'ambiance est là et les lycéens participants sont impatients de découvrir le résultat final, de ces longues heures de travail.

Après la remise des prix pour les films en compétition pour le bac, la diffusion des petites séquences commence et certains de ces cours-métrages suscitent plus ou moins de réactions dans la salle. 

Après déjà trois ou quatre courts-métrages diffusés, nous commençons à nous impatienter... Et là, enfin, la petite séquence que nous attendons tous intitulée Jean émoi (très bon choix de titre entre nous soi dit), celle des MANCAV de Sarlat que nous avons suivis toute la semaine, démarre. Le scénario tient très très bien la route, Jean Dujardin est encore une fois sous le feu des projecteurs (quand y'en a plus, y'en a encore), et la chute (n’ayons pas peur de le dire) est celle qui suscite le plus de rires et d'applaudissements dans le public. En bref, la folie Dujardin est toujours là et nous sommes d'accord pour leur décerner la palme de la meilleure petite-séquence (en toute objectivité bien sûr) sans oublier de souligner qu'ils étaient partis avec un handicap majeur en n'étant prévenus que très tard de leur participation à cette édition du 24ème festival du film de Sarlat.

Nous leur souhaitons de tout cœur une bonne continuation dans leur carrière cinématographique, qui démarre avec un film pour le moins prometteur! 

Une partie de l'équipe des MANCAV et Jean-Luc Mage après la projection

Pour voir leur production: c'est ICI !

Alice CORLOSQUET; Anthonin IRAGNE

The Artist

Ancienne étudiante en arts décoratifs à Paris, et graphiste depuis sa sortie de l'école, Gwladys Esnault crée, dessine, confectionne les magnifiques affiches du festival de Sarlat.

"Je porte un grand intérêt à la photographie, et bien sûr j'aime le cinéma!"
Alors, pourquoi le graphisme dans ce cas? Gwladys, nous confie qu'elle fait du graphisme car c'est un peu "touche à tout" : sur l'affiche, on peut mélanger photo, dessin...
Pour prendre un exemple, l'affiche de l'an dernier est une photo, celle des sièges de la salle du cinéma Rex. Cette photo à été choisie pour mettre à l'honneur les nouvelles salles du cinéma, car il à été rénové depuis peu.
Vous avez vu la belle affiche étoilée de cette année?
Gwladys et toute son équipe ont fait maintes réunions pour discuter des croquis, des plans..
Du stylo bic sur l'affiche quoi!!!

"En fait, cette année ils ont voulu mettre en avant les lycéens sur le thème de l'étoile, c'est la raison pour laquelle il y a du stylo sur l'affiche".
Toutes les autres années, du moins depuis l'arrivée de Marc Bonduel, l'accent a été mis sur les monuments de Sarlat, et cela faisait longtemps qu'il voulait mettre en avant les lycéens.
En dehors du festival de Sarlat, Gwladys Esnault est enseignante dans une école de graphisme, et participe également à de nombreux festivals, tels que celui de Biarritz ou le festival chinois en France. Elle travaille aussi pour une maison d'édition culturelle, puis pour des partenaires privés.

"C'est une très belle expérience, vraiment, j'espère continuer, ce sera avec grand plaisir!"
Ce dont on est sûr, c'est que ce sera un plaisir partagé Gwladys, encore bravo!!!

l'affiche officielle du festival du film de Sarlat


                                                                                                 Sara BELACEL et Tara ROUZADE

Le procès (ou l'Hermine)

Ce matin, au Centre Culturel, le film L'Hermine a été projeté.


C'est un film qui parle du procès d'un homme de 27 ans qui aurait donné des coups mortels avec une paire de Rangers à Melissa, sa fille de 7 mois. Le président de la cour d'assises, joué par Fabrice Lucchini, retrouve sa bien-aimée qui elle, fait partie des jurés.

C'est un film très beau, très émouvant forcément avec le crime terrible du départ. Le film présente clairement, de façon très réaliste, le déroulé d'un procès dans un tribunal. Mais l'intrigue principale reste celle du président de la cour d'assises et de son ex-amour, brillamment interprétés par deux comédiens d'expérience.

A la sortie de la projection, tous les avis sont unanimes : les lycéens ont beaucoup apprécié la qualité du film.

Nous ne pouvons que confirmer, ce film est un bijou ! Nous avions étudié le fonctionnement de la justice l'an dernier et ce film en est une illustration parfaite.

Clara NIMAL et Chloé BLANDAMOUR

Drôles deux dames

Rencontre inattendue à Sarlat pour deux de nos apprentis journalistes.

A la sortie de la soirée privée passée aux cotés de certaines personnalités (lire les articles de la journée pour savoir qui), deux blogueurs tombèrent sous le charme de deux journalistes people venant tout droit de la capitale.

Comme de véritables gentlemen, ils les ont raccompagnées dans les rues sombres de Sarlat jusqu’à leur hôtel.

Le lendemain matin, les deux jeunes hommes ont récidivé, puisqu'ils ont raccompagné les mystérieuses demoiselles jusqu’à la gare où leur train les attendait. Après de chaleureux au revoir (qui ont abouti à une invitation Facebook), ils sont rentrés, le sourire aux lèvres.

Malheureusement, leur noms ne seront pas communiqués, pour des raisons de discrétion professionnelle.


Merci M & V, à bientôt.

Anthonin IRAGNE & Léo EL AYADI

Trop belle pour toi

Enfin ! Nous avons  rencontré la plus Belge des actrices françaises. C'est avec plaisir, même si elle était trèèèèès occupée, qu'elle a accepté de nous retrouver à son hôtel, et de répondre à nos questions de fans énamourées. (Là, nous avouons : nous ne sommes plus les journalistes intègres et incorruptibles du blog...)

Virginie connaît Sarlat, elle est y déjà venue et se souvient de la place aux Trois oies. Elle revient cette année pour présenter "Le goût des merveilles", une histoire qui lui a plu parce qu'elle fait la part belle aux émotions. Elle a adoré jouer dans ce film et passer du registre comique à la comédie "romanticomélancolique".  Ce film lui a permis aussi de jouer avec un comédien de théâtre qu'elle appréciait. Le tournage a eu lieu en Provence, "une région aussi intéressante qu'ici... des régions qui ont des points en commun [ah bon ?] niveau architecture et paysages naturels" [ah]

Nous lui avons demandé ce qu'elle voulait faire enfant. Virginie a toujours voulu être actrice mais elle ne croyait pas en ses chances de réussite. Son mariage avec un brillant acteur l'a confortée dans son idée de ne pas être à la hauteur. C'est pourquoi elle a commencé ("par accident !") la présentation d'émission télé, avant d'enfin, prendre son courage à deux mains et de faire le grand saut dans le cinéma. Car le plus important est de vivre ses rêves et de croire en soi !
Nous en tous les cas on a vraiment apprécié sa disponibilité, sa gentillesse, son écoute, sa simplicité et sa beauté ! Quand on vous disait qu'on était plus que des fans...


Virginie Efira

Emma Larroque et Emma Lacoste

Tout pour être heureux

Après avoir enfin décroché notre interview tant attendue avec Manu Payet et Audrey Lamy, nous nous rendons au cinéma pour assister au film. Nous nous installons dans la grande salle aux places qui nous sont réservées (et oui, nous aussi on est des V.I.P !), juste à côté de celles de l'équipe du film.

L'équipe nous présente brièvement son film, la salle se plonge dans l'obscurité et la séance démarre. Au fur et à mesure de la séance des rires et des sanglots éclatent. Le public à l'air sous le charme. Il faut dire que le sujet à de quoi plaire: une femme trompée quitte son mari et lui confie leurs enfants dont il ne s'est jamais occupé. Le personnage de Manu Payet apprend donc à s'occuper de ses enfants et prend conscience de l'erreur qu'il a faite en trompant sa femme.

La projection se termine et c'est une équipe de film très émue que nous retrouvons pour répondre aux questions du public. De nombreux compliments déferlent, et l'équipe semble ravie de ce succès. Les questions se succèdent mais il est temps pour eux de s'installer auprès de l'équipe de France Bleu Périgord pour la chronique journalière sur le festival.

Une horde de lycéens les attend à la sortie du cinéma, mais les acteurs n'ont pas le temps de les rejoindre avant l'émission. Nous sortons du cinéma puis nous nous rendons compte que nous pouvons, grâce à notre statut privilégié, assister à l'émission de radio.

Nous décidons alors de retourner dans le cinéma et passons (assez fièrement il faut le reconnaître !) devant tous les lycéens qui attendent impatiemment la fin de l'émission (et oui c'est ça l'avantage d'être blogueurs!)  et qui nous sifflent! Pas très fair play, les lycéens ! Mais comment leur en vouloir?


Les journalistes de France Bleu, Benjamin et Julien, Cyril GELBAT, Manu PAYET, Aure ATIKA et Audrey LAMY

En bref une équipe de film très sympathique, et un film qui nous a fait passer un moment très agréable, et plein d'émotions! 

Alice CORLOSQUET; Anthonin IRAGNE; Clémence VICENTE;
Margot FERNANDES; Timothée THROUIN; Louis RILIEVO

Super cook me!

Nos blogueurs mènent une vie de danger : ils arpentent les rues de Sarlat à leurs risques et périls, bravant le froid, les attachés de presse, les articles à rédiger, les conférences de rédaction... Ils doivent, vous l'imaginez bien, à un moment récupérer des forces... Une seule solution: les supers cook-women !!!

Sarah, Cathy, Monique, Sara, Tara et Alice avec leurs muffins, cookies, gâteaux en tout genre au citron ou à la banane...accompagnés d'un thé ou café redonnent énergie et vitalité à nos journalistes en herbe ! 

Mention spéciale au cook-man Bruno et ses chouquettes enchantées !!

Élèves... et les goûteurs professionnels (coucou Marie et Pascal !) se sont régalés.

Merci et bon appétit !

 Photo d'archives

Jordan

Nougat le koala

Alors que nous nous installions dans la salle pour le film Tout pour être heureux, un personnage pour le moins atypique nous interpelle. Nous faisons alors la rencontre du koala : Nougat, fervent amateur du festival de Sarlat. Nous ne pouvons malheureusement pas échanger beaucoup plus avec Nougat, l'équipe du film arrive et nous le laissons apprécier le spectacle.


Nougat lors de la projection du film Tout pour être heureux
           
                                                                                        Alice CORLOSQUET

Petites séquences : chapitre 3

Hier, comme vous l'auriez sûrement remarqué, nous n'avons malheureusement pas pu assister aux montages des petites séquences (et oui on peut pas être partout à la fois). Mais, malgré tout, nous avons réussi à revoir une partie de notre équipe de MANCAV ainsi que leur réalisateur Jean-Luc Mage auxquels nous avons soutiré des informations sur le déroulement de leur journée.

Le groupe que nous interpellons semble plutôt content du déroulement du montage et satisfait du résultat final.

Beaucoup plus tard dans la soirée, grâce à notre entrée dans le club V.I.P nous rencontrons le réalisateur. C'est un homme très sympathique dont nous faisons plus amplement la connaissance. Ce réalisateur participe au festival et notamment à l'accompagnement des lycéens dans la réalisation de leurs petites séquences depuis maintenant 15 ans. C'est à l'origine pour le tournage d'un documentaire sur la ville de Sarlat qu'il a connu la ville. Depuis ce tournage c'est tous les ans qu'il revient au festival. Il nous explique plus en détails son métier en dehors du festival. Ce véritable passionné précise qu'il tourne principalement des reconstitutions historiques et des documentaires (comme les Rois de France, émission qui devrait bientôt être diffusée sur une chaîne du câble).

Nous lui demandons ensuite ce qu'il pense du travail effectué avec les MANCAV cette année, il paraît très enthousiaste à propos de leur scénario, et nous garantit que cette petite séquence aura du succès. Il nous confie ensuite que plus les années passent, plus le travail avec les élèves qu'il encadre se passe mieux. Pour lui les premiers groupes qu'il a encadrés étaient beaucoup plus "hautains" et sûrs d'eux. Cette année tout se déroule comme il le faut et la fin du montage du film a même été fêté autour d'un repas avec toute l'équipe.

Jean-Luc Mage lors du tournage

La diffusion se déroulera dans la soirée au centre culturel et nous avons hâte de découvrir leur film qui, peut être, deviendra un chef d’œuvre de cinéma (qui sait ?! ).
Alice CORLOSQUET; Anthonin IRAGNE

vendredi 13 novembre 2015

After midnight

Troisième jour du festival, après une belle journée, nous nous retrouvons au carré VIP (eh ouais, rien que ça!) où Monsieur Xavier Meyer, le régisseur en chef du festival a très agréablement accepté de nous faire entrer. Dans la salle, nous apercevons Manu Payet, Audrey Lamy, Virginie Efira et bien d'autres célébrités.

Monsieur Meyer étant seul, nous en profitons pour aller à sa rencontre. Journalistes un jour... Même en soirée, on est au taquet !

Pendant cette rencontre, nous en apprenons davantage sur son métier de directeur technique du festival du film de Sarlat ainsi que du festival d'Amérique Latine de Biarritz. Régisseur général ou directeur technique, c'est en fait la même chose.

Directeur technique, c'est un sacré poste dans un festival comme celui-ci. Xavier Meyer gère aussi bien l'organisation des repas que prennent les 700 festivaliers que celle des conditions de diffusion des films au Rex ou au Centre Culturel. Un travail de logistique absolument nécessaire au bon déroulement du festival.

Il nous parle avec passion de son métier très intéressant même s'il n'est pas très connu.

Il est visiblement très heureux de faire partie de ce festival. Il explique que les premières éditions se sont montées sans beaucoup de moyens, mais au fil du temps, le festival a pris de l'ampleur et a gagné en organisation. Cela lui a permis d'apporter son expérience et ses compétences depuis cinq ans déjà.

D'ailleurs, on ne change pas une équipe qui gagne : Xavier Meyer et Marc Bonduel (délégué général) travaillent ensemble au festival de Biarritz également.



Xavier Meyer (photo d'archives du blog)

Aurélien BLANC et Paulin DROUILLARD

Serial gaffeuses !

Première info : Virginie Efira sera au Petit Manoir à midi. C'est notre tour d'interviewer un des acteurs présents cette semaine. 
Nous nous y rendons et attendons... Mais arrivent d'autres élèves du blog nous informant que l'actrice était encore dans l'avion et que c'était en fait l'équipe du film Tout pour être heureux qui aller arriver. Peine perdue, la rencontre avec l'ex animatrice de Nouvelle Star, ce ne sera pas pour tout de suite!

Deuxième info : Eric Besnard, Benjamin Laverhne et Virginie Efira seront à 16h30 à l'ancien Evêché pour une conférence sur leur film Le goût des merveilles. Direction l'ancien Evéché, donc !

Notre objectif : poser des questions sur le film mais aussi avoir l'occasion de rencontrer enfin Virginie Efira. Si seulement..

Problème : la conférence était réservée aux journalistes qui, eux, avaient bien évidemment déjà vu le film. Contrairement à nous. Pour poser des questions, ce fut assez problématique !

Quant à Virginie Efira, à cause de ce maudit brouillard, au même moment, arrivait juste à l'hôtel et se préparait à se rendre au Rex. Résultat: pas de Virginie à la conférence donc toujours pas d'interview !

Cela dit, c'était quand même très intéressant d'écouter les réponses du réalisateur Eric Besnard ainsi que de l'acteur principal Benjamin Laverhne! Nous avons joué les filles intelligentes et concernées, grâce de subtils hochements de tête, avant de nous éclipser discrètement.

Ouf, l'honneur est sauf !

Vous la voulez toujours, l'interview?

Bah va falloir attendre, comme nous !

Benjamin Laverhne et Eric Besnard (qui, eux, étaient là)
Emma Larroque et Emma Lacoste

Le professionnel

Nous avons attendu la venue d'Audrey Lamy et de Manu Payet dans le froid devant l'entrée de l’hôtel Renoir, on commence à s'impatienter, et là à ce moment précis, un homme débarque et vient à notre rencontre, il se nomme Bruno Cras, c'est un critique de cinéma d'Europe 1.


                         Bruno Cras, chroniqueur d'Europe 1

Il nous parle de son métier de critique. Pendant la conversation, nous lui demandons si nous pouvons assister à son intervention sur Europe 1. Très gentiment, il accepte !
Nous prenons place dans la salle à manger du Renoir avec lui, il commence son intervention à la radio en parlant de la sortie fulgurante du nouveau James Bond, Spectre, plus de 850 000 entrées en France dans 900 salles de cinéma du mardi soir (265 000 entrées) au mercredi soir (600 000 entrées), c'est un record dans l'histoire du cinéma. 
Par rapport à ce dernier opus de James Bond, Spider Man 3  avait comptabilisé 804 345 entrées et Taxi 2, 801 000 entrées. Il souligne le fait que le film sorte un mardi et que le lendemain correspond à un jour férié, "ça fait un carton". Le réalisateur du film a dans sa ligne de mire le film les Ch'tis qui avait comptabilisé 3 000 000 d'entrées la première semaine.
Pour le box office international, le film est attendu dans 5 000 salles en Chine. Ce week-end, le film devrait avoir rapporté 100 000 000 de dollars en plus dans la cagnotte des producteurs.
Lorsqu'il finit sa chronique sur Spectre, nous échangeons sur ses ressentis à propos de plusieurs films. Il nous explique alors qu'il voit 300 films par an, dont 30 films qu'il trouve bons et deux très bons.
Il n'a pas évoqué le festival du film de Sarlat pendant sa chronique mais il en parlera à Europe 1 dimanche.

 Timothée Thirouin, Louis Rilievo, Alice Corlosquet,
Anthonin Iragne, Margot Fernandes et Clémence Vicente

Les complices

Bien au chaud dans Le Petit Manoir, notre fine équipe s'installe avec Audrey Lamy et Manu Payet, pour la présentation du film Tout pour être heureux et notre petit échange commence :

Après toutes vos péripéties vous voilà enfin en Dordogne, qu'en pensez-vous, comment vous sentez-vous?
"C'est la première fois qu'on vient à Sarlat, c'est beau et on a l'air de bien y manger. C'est la première fois qu'on montre le film au public et on a entendu qu'il y avait beaucoup de jeunes. On appréhende un peu mais on a hâte de montrer le film et d'avoir les retours."

Comment vous êtes vous lancés dans ce film ? Qu'est-ce qui vous a séduits ?
Manu Payet : "J'ai lu le scénario et l'histoire m'a beaucoup plu, il m'a fait rire, il m'a touché... Je n'avais encore jamais interprété de père alors j'ai accepté sans hésitation."
Audrey Lamy : "C'est la même chose pour moi. J'ai été contente et surprise qu'on me propose un rôle aussi différent de ce que j'ai l'habitude de jouer, et puis on était content, Manu et moi, de jouer ensemble sur ce film."

Comment s'est déroulé le tournage ? Y avait-il une bonne ambiance ?
Audrey Lamy : "C'était l'horreur.(rires). Non, sérieusement, c'était super mais il y avait des moments compliqués entre Manu et moi parce qu'on s'apprécie beaucoup et on était obligé de jouer des scènes où on se dispute assez violemment alors, entre les scènes, on se faisait plein de bisous et on se disait des mots gentils."
Manu Payet : "C'est vrai qu'à force de se disputer toute la journée on se prend au jeu, et parfois le soir quand on rentre chez soi on se retrouve un peu tendu sans raison, on a envie de se disputer avec tout le monde ! (rires)"

Un conseil pour de futurs cinéastes ?
"Voir des films, les revoir et même les re-re-revoir ! Écrire aussi, trouver des inspirations. Ne pas attendre que les choses arrivent parce que ça ne vient pas tout seul. On a tendance à penser que le métier d'acteur n'est pas vraiment un métier mais plutôt une activité qu'on fait à côté d'un "vrai" métier, alors que pas du tout."

Le métier que vous rêviez de faire étant petit ?
Audrey Lamy : "Je n'ai pas toujours voulu être actrice parce que ça me paraissait complètement inaccessible, mais avec l'exemple de ma sœur qui a réussi, je me suis dit : "C'est génial, un métier où on est payé pour jouer, je veux faire ça !" C'est parti de là."
Manu Payet : "Moi je voulais faire de la musique, du rock, mais au final tout ce que j'ai fait jusqu'ici je l'ai fait parce que ça me fait rire, parce que j'aime ça."

Si vous deviez donner un mot pour donner envie de voir le film ?
Manu Payet : "Il est CHANT-MÉ ! (rires) On a vu le film pour la première il y a quelques jours et on a vraiment aimé. Du coup on est d'autant plus contents d'en parler parce qu'on est heureux du résultat. A la fin de la projection j'ai dit à Audrey : "Qu'est ce que c'est bien quand c'est bien !" et c'est vrai."



Aure Atika, Manu Payet, Audrey Lamy et le réalisateur Cyril Gelblat

Clémence Vicente, Margot Fernandes, Alice Corlosquet, Timothée Thirouin, Louis Rilievo, Anthonin Iragne

16 têtes dans l'sac !

On est a peu près tous d'accord, sur le fait que nos sacs de cette année, sont beaucoup plus jolis que ceux des autres années !

Pour savoir si notre idée était partagée ou si ça ne venait que de nous, seize petits bloggeurs de Sarlat, nous avons demandé à un homme dans la rue, Patrick, ce qu'il en pensait. Selon lui, le sac des années précédentes est certes moins esthétique mais il est sans doute plus pratique ! Il comprend que nous préférions ce sac car nous sommes des adolescents et que le côté esthétique compte beaucoup pour nous. Pour le prochain il propose d'associer l'esthétique au pratique ! Merci beaucoup à Patrick, l'un des seuls qui a bien voulu nous accorder deux petites minutes pour répondre à cette question primordiale...

 Patrick, 50 ans, dans la traverse de Sarlat.

Charlotte Moreaux, Léo El Ayadi, Chloé Blandamour et Clara Nimal

Mission (presque) impossible

Jour 3 du festival, cette fois-ci nous sommes six sur le coup. Notre objectif ? Obtenir une interview d'Audrey Lamy et Manu Payet présents sur le festival pour présenter leur film Tout pour être heureux.

9h30 : Nous voilà partis en direction de l'hôtel Le Renoir. Les acteurs sont sensés arriver pour 10h30. La température tourne autour des 6°C, autant dire qu'il ne fait pas très chaud.

10h30 : Toujours rien. Nous apprenons que les avions ont du retard causé par le brouillard. Un homme muni de lunettes, ressemblant à la description qu'on nous avait faite de l'attaché de presse des acteurs, passe devant l'hôtel. Ni une ni deux, nous partons à sa rencontre, mais en fait nous avions faux sur toute la ligne. Oups !

10h40 : Retour au QG, nous nous goinfrons des chouquettes de M. D'Aloise.

11h00 : Nous revoilà devant Le Renoir, il fait toujours très très froid.

12h15 : Bruno Cras, critique cinéma pour Europe 1, vient à notre rencontre.

12h40 : Nous réussissons à assister à sa chronique dans l'hôtel puis nous parlons cinéma. (Article à venir)

13h30 : Nous sortons de l'hôtel et là c'est le drame. Les acteurs sont arrivés mais sont déjà repartis pour manger. Super...

13h35 : Après avoir couru aussi vite qu'Usain Bolt, nous voilà devant Le Petit Manoir. Les acteurs sont à l'intérieur, on nous annonce qu'ils sortent à 15h30. Je sais pas si on vous l'a déjà dit, mais il fait froid.

14h30 : Petite arrivée surprise d'autres membres du blog. PARDON ?! Après avoir attendu tout ce temps dans le FROID on allait nous piquer notre interview ?! Ah non alors...

14h40 : Fausse alerte, les tensions sont redescendues. Il serait peut-être temps qu'on apprenne à s'écouter pendant nos conférences de rédaction. Sinon il fait toujours froid.

15h00 : Les acteurs sont dans l'entrée du restaurant pour prendre un peu l'air. Nous tentons le tout pour le tout et ils nous reçoivent dans une des salles du restaurant. C'est la VICTOIRE !

L'article de notre rencontre avec eux arrive incessamment sous peu. Enfin, si nos doigts dégèlent... 


 Trop de blogueurs tuent le blog ? 

On vous laisse, on a froid.

Clémence Vicente, Margot Fernandes, Alice Corlosquet, Timothée Thirouin, Louis Rilievo, Anthonin Iragne

Le goût des merveilles

Hier nous étions présents à la séance,"Le goût des merveilles" dans la salle 4 du Rex.

Le goût des merveilles est un film magnifique et très émouvant, qui raconte la rencontre entre Louise, une mère de deux enfants et Pierre, un homme attachant mais différent. Il n'est vraiment pas difficile de se laisser emporter par ces images, les personnages sont très simples et les paysages magnifiques. On peut très facilement s’imaginer à leur place. La projection a été saluée par de longs applaudissements.

La plupart des questions tournaient autour de la difficulté d'avoir à incarner les personnages. Pour Virginie Efira le plus difficile a été de tourner avec une personne qui ne la regardait pas et qu'elle ne pouvait pas toucher. Mais les deux acteurs ont été d'accord pour dire que c'était un film très agréable à faire, et que l'histoire est vraiment magique !

Eric Besnard nous a confié que c'était un film qu'il avait dédicacé à sa fée à lui, puisque dans le générique il n'est pas écrit "inspiré d'un fait réel", mais "inspiré d'une fée réelle".

Pour incarner le personnage de Pierre, Eric, le réalisateur, nous a affirmé qu'il était allé chercher un comédien de la Comédie Française, il ne voulait pas quelqu'un de très connu, et le résultat est tel qu'il l’espérait !
Benjamin Lavernhe, qui joue le rôle de Pierre, atteint du syndrome d'Asperger, nous a confié qu'il avait été ravi d'incarner ce rôle aux côtés de Virginie Efira, même si ça n'était pas toujours simple. Parfois, il oubliait un peu son personnage et n'avait donc pas la bonne attitude. Globalement, rentrer dans la peau d'un personnage comme Pierre a été quelque chose d’extrêmement intéressant.

C'est un film qui nous a beaucoup plu, d'autant plus que Virginie Efira est une actrice magnifique, et que l'ensemble de l'équipe a été très gentille avec les gens qui leurs posaient des questions, et n'hésitant pas à saluer par écran interposé le public venu voir le film dans les autres salles.



Affiche du film, Cinéma Rex, Sarlat.

Charlotte Moreaux, Léo El Ayadi

Le choix de Marc Bonduel

Une organisation pointue...

Ce mardi à 16 heures, ayant deux articles à rédiger pour 18 heures, nous sommes légèrement... comment dire... pas sûrs de nous et considérablement pressés !
Et voilà que nous apprenons que Monsieur Bonduel, le délégué général du festival, s'entretiendra avec nous à 17 heures. Alors là, nous sommes lamentablement dans la "......." ! Nous aurons en fait, à 18 heures, trois articles à rédiger et à publier pour... 18 heures ! Bon, rendons nous à l'évidence, ça attendra demain. La prochaine fois nous nous organiserons plus efficacement.
Il est donc 16h30, nous n'avons pas encore de questions, mais y a plus qu'à...
A 16h55, nous sommes en possession d'un bon bloc de questions ! RDV dans cinq minutes à l’hôtel Le Renoir. Nous dévalons les rues jusqu'aux portes de la réception de l'hôtel. , mieux vaut l'attendre que le faire attendre !

"Je ne vais pas dehors, mais je vous en prie suivez-moi, au chaud nous serons mieux !"
Confortablement assis dans les fauteuils de l’hôtel, l'entretien commence ! À notre grand étonnement débute l'interview par quelques questions de sa part ; d'un air attentionné et avec intérêt il semble s’intéresser à ce que l'on fait. Enfin nous posons nos questions.

Trouvez-vous, cette année, le choix du documentaire pertinent pour l'épreuve du bac ?
Il me semble que ce choix est très pertinent, oui ! Je suis délégué général depuis six ans pour ce festival et c'est la première année que le documentaire apparaît pour le bac. Il me semble que ça fait une vingtaine d'années qu'il n'a pas été utilisé !

Sur quels critères choisissez-vous un film pour la sélection ? Les prix importent t-ils ?
Il faut d'abord que les équipes de films puissent être présentes, financièrement il faut pouvoir assurer leur venue. Il me semble aussi que c'est important de mettre en avant le cinéma français. Ensuite il faut diversifier un maximum les films pour la sélection officielle. Bien évidement je choisis les films que j’apprécie. Il est important que les films soient accessibles à tous. On ne propose pas dans les sélections des films de cinéphile. Pour la sélection du tour du monde nous n'avons pas de critères de pays (c'est à dire que plusieurs films de la sélection peuvent venir d'un même pays) ; j'ai vraiment une liberté absolue. Question "Prix", je n'en tiens vraiment pas compte. Mais dans l'ensemble, il y forcément des films qui ont reçu un prix, cela traduit la qualité du film.

Comment choisissez-vous le film de clôture ?
Un film de clôture doit répondre au sujet du festival, cette année Les Ogres doit donc avoir un lien avec le  romantisme mais aussi avec l'écologie. Il faut également que ce film accroche le public afin de le retrouver l'année suivante.

Participez-vous à d'autres festivals ?
Je suis délégué général également pour le Festival du Film de Biarritz qui demande un travail énorme et je n'ai pas suffisamment de temps pour participer à d'autres.

Pourquoi regarder des films au cinéma alors que l'on peut les trouver sur Internet ? Quel est l'intérêt d'un tel festival ?
Les gens sont avides de rencontres, aujourd'hui elles sont de plus en plus complexes. Le cinéma est justement un bon moyen de rencontre et d'autant plus le Festival. Le cinéma est un lien social !

Recevez-vous des pressions pour le choix d'un film ?
Tout à fait, plein d'ailleurs mais c'est mon métier de savoir si tel film doit être dans ce Festival alors je me défends et explique...

Pourquoi un tel festival en novembre et pas à une saison plus attractive ?
On peut d'abord dire que ce Festival en novembre occupe les festivaliers alors qu'en été, par exemple il y a plus de possibilités pour se divertir ! En travaillant sur ce Festival, je me donne un challenge qui est de remplir la ville à un moment où elle ne l'est pas.

Le mot de la fin :  "Ma passion aujourd'hui est de convaincre le public"


Marc Bonduel © E. Thiercelin

 Aurélien Blanc et Paulin Drouillard

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Samuel Bollendorff réalisateur d'un web-documentaire à fait un atelier hier au centre culturel. Nous y avons assisté.

Mais d'abord, savez-vous ce qu'est qu'un web-documentaire?

Il sagit de documentaires publiés sur le net, mais, ce ne sont pas des documentaires que l'on visionne de manière classique. C'est plus interactif! Par exemple, en démarrant un web documentaire, une photographie s'affiche avec une bande son. Plusieurs options s'offrent alors à vous, vous n'avez qu'à cliquer sur celle qui vous intéresse et l'écouter, cela ne dure que quelques minutes!

Dans Voyage au bout du charbon (qui traite du travail dans les mines les plus dangereuses), vous pouvez même cliquer sur des questions qui sont déjà proposées et écouter la réponse sous forme de témoignage d'un des mineurs.

Durant son atelier, Samuel Bollendorff fait une démonstration sur la manière de naviguer sur ses web-documentaires et explique les raisons pour lesquelles il parle de ces sujets-là. Il dénonce des problèmes de la société qui touchent une bonne partie de la population en France et à travers le monde : les immolations par le feu des employés de France Télécom dans Le grand incendie, le problème des gens mal logés dans A l'abri de rien, l'obésité dans The Big issue.

Vous pouvez retrouver ses web documentaires sur son site internet, que nous avons trouvé très enrichissant, en cliquant sur le lien suivant :
Site internet Samuel Bollendorff


Samuel Bollendorff

Emma LACOSTE et Emma LARROQUE

Aujourd'hui, ça commence demain

Avant-hier, nous nous sommes rendus au centre culturel pour assister au film Demain (un peu bizarre dit comme ça)

Le film commence, c'est un documentaire qui se déroule en cinq séquences (agriculture, énergie, éducation, démocratie et économie), il a été tourné dans dix pays. Ce film porte, pour une fois, une vision plutôt optimiste de l'avenir. Il nous apporte des solutions concrètes pour pouvoir agir contre le réchauffement climatique et c'est avec une autre vision du monde et de l'écologie que nous ressortons de la salle. Ce film nous donne véritablement une envie de changer les choses.

L'échange entre les lycéens et le réalisateur qui est un véritable passionné de son métier, et de l'écologie, nous conforte dans l'idée que tout le monde peut agir : "mettre sa pierre à l'édifice", pour changer les choses, pour changer notre façon de voir l'avenir.

 ¨Philippe Lefay interrogeant Ciryl Dion

A la fin du film nous demandons aux spectateurs de résumer le film en un mot, voici leurs réponses :
            Militant                                                    Cause
                                   Touchant                                Futur
                                    Nouveau mouvement ( deux mots mais bon, on accepte !)
           Ennuyeux                                                     Environnement

                                         Alice Corlosquet, Louis Rilievo, Anthonin Iragne

jeudi 12 novembre 2015

La vérité, si je mens (pas)

Cette année, les élèves d'option Cinéma Audiovisuel planchent sur des documentaires pour leur épreuve de Bac. Qu'en pensent les professionnels?

Yves de Peretti, réalisateur, a présenté plusieurs des documentaires proposés durant le Festival. Il nous fait part de son point de vue.

Selon lui, le choix du documentaire pour le bac est pertinent car, même si l'on connaît assez mal ce genre cinématographique, il mérite d'être présenté au festival du film.

Il affirme que les images présentées dans les documentaires ne sont pas toujours laissées telles quelles, elles peuvent être retouchées car cela est plus efficace. Cependant, tout ce qui est dit dans le documentaire est vrai et ne relève aucunement de la fiction.

C'est donc grâce à cela que la confiance s'instaure avec le spectateur qui n'a alors plus de doutes sur l'honnêteté du réalisateur vis-à-vis de son documentaire.


 source :vimeo
Yves de Peretti après sa conférence 

Paulin DROUILLARD et Aurélien BLANC

Guillaume et les garçons...

Ce matin, atelier en compagnie du scénariste d'Amélie Poulain, Guillaume Laurant. Il a eu la gentillesse de présenter son métier et de répondre à nos questions. Il nous a aussi parlé de son parcours.

Il a eu le Bac  puis a enchaîné les petits boulots et 10 ans plus tard, sa carrière a commencé grâce à un livre offert par des amis : Comment écrire un scénario ?
Pour pratiquer ce métier, il faut avoir de l'imagination et surtout de la curiosité : c'est le moteur pour écrire. Mais aussi de l'audace, du talent, envoyer ses scénarii aux bonnes personnes ET au bon moment. Comme il a pu nous dire : "Il faut le savoir faire et le faire savoir". Parfois, il y a des malentendus entre le réalisateur et lui-même, c'est fréquent mais aucun conflit ne s'est présenté. 

Dans son métier, ce qui lui plaît le plus, c'est s'adapter aux contraintes et travailler avec les gens qu'il apprécie. Quand il voit un de ses films, il est parfois déconcerté car il n'avait pas imaginé ce résultat, comme pour "L'odeur de la mandarine".

Enfin, il soupire qu'on ne peut pas faire un film avec un gros budget sans acteurs célèbres car les médias n'en parleraient pas par la suite.

Il y a 5 ans, il a commencé à écrire un roman, ce travail d'écriture correspond bien à son caractère solitaire.  Mais le marché de l'édition est économiquement très compliqué lui aussi...

Pour conclure, Guillaume Laurant nous livre un scoop : après 10 ans d'attente, il y a 1 mois jour pour jour, ont débuté les répétitions d'Amélie Poulain en version comédie musicale !

 Guillaume Laurant