lundi 19 novembre 2018

cérémonie de cloture

La cérémonie de clôture de cette 27ème édition commence par les remerciements de M. Vialle, M. Armstam et M.Bonduel à toutes les équipes du film cinéma Rex de Sarlat ainsi qu'au équipes du centre culturel. 
M. Armstam rappelle le nom des lycées vainqueurs des différents prix remis la veille. Il annonce également le palmares court métrages : 

Mention spéciale : Les Empêchés de Stéphanie Vasseur et Sandrine Terragno
Meilleur court métrage : Coté Coeur de Hélloïse Pelloquet


Hélloïse Pelloquet, réalisatrice de Cote Coeur


La soirée continua par le palmarès des différents prix du jury jeunes ayant :

Meilleure interprétation féminine   : Camille Chamoux dans Premières Vacances

Meilleure interprétation masculine : Jacques Gamblin dans L'incroyable histoire du facteur cheval

Meilleur film du jury jeunes : Edmond de Alexis Michalik

Jordan Blaya, gérant de ce jury jeunes, annonce que les membres du jury ont pris leur rôle très au sérieux et qu'ils avaient à coeur de remplir leur mission.


Le jury jeune accompagné de Marc Bonduel Germinal Peiro et Pierre-Henri Armstram
 
La remise des prix continue par les prix remis par le public du Rex :
Le prix du vote lycéens : Edmond de Alexis Michalik

La salamandre d'or prix du public : Edmond de Alexis Michalik 

La cérémonie se clôture par le discours émouvant de M. Bonduel, qui reçoit une Salamandre d'honneur pour l'ensemble de son travail durant toutes ces années passées au Festival. Il remercie toutes ses équipes et souhaite bon courage au nouveau directeur général M. Jean-Raymond Garcia.

L'équipe du film Edmond fière de recevoir leurs prix

Mathieu Chiotti

Une intime conviction

Le film de clôture du Festival de Film de Sarlat est Une Intime Conviction d'Antoine Raimbault : un film à la limite du polar revenant sur l'affaire Viguier.
Accusé du meurtre de sa femme, Jacques Viguier, acquitté au premier procés et déféré devant les assises 10 plus tard.
Le film revient sur ce second procès en rajoutant un élément, nous apprend M. Raimbault, le personnage de Nora. Nora, cuisinière et amie de la fille de Jacques Viguier, est persuadée de son innocence. Elle lui trouve un nouvel avocat et cherche toutes les preuves dans les écoutes et les documents de l'enquête qui pourraient montrer son innocence.


Antoine Raimbault réalisateur du film Une Intime Conviction (source .fr) 
 

 Mathieu Chiotti

dimanche 18 novembre 2018

C'est la fin

Vendredi soir, c'est déjà la fin du festival pour les lycéens. Le palmarès est arrivé et les prix se distribuent les uns après les autres.
Tout d'abord le palmarès des films du bac 2018

1er      Lycée Lycée Jean XXIII, Montigny les Metz
2eme   Lycée Pré de Cordy, Sarlat
3eme   Lycée Georges Clemenceau, Reims
 
 
De gauche a droite : Lycée Pré de Cordy, Lycée Clémenceau, Jury et lycée JeanXXIII


Le prix du meilleur scénario revient au lycée Hector Berlioz, Vincennes.

M. Armstam et M. Bonduel cloturent cette cérémonie en rappelant que cette année 2018 fut une année très riche, et la sélection très compliquée en raison de la qualité des films proposés.

La remise des prix est suivie du visionnage de toutes les petites séquences tournées dans les rues de Sarlat.
La soirée se poursuit par la "soirée lycéenne".

Mathieu Chiotti

samedi 17 novembre 2018

No Escape

Fin d'après-midi mouvementée au cinéma Rex de Sarlat par les manifestants "gilets jaunes" qui ont choisi ce lieu pour poursuivre leur manifestation.
Ils ont quelque peu perturbé le déroulement du Festival, en bloquant l'accès au cinéma pendant une dizaine de minutes.


Manifestantz devant le cinéma Rex de Sarlat
Mathieu Chiotti

A strar is born



Maleaune Paquin, acteur du film Rémi sans famille tient le rôle principal : Rémi. 
 
Du haut de ces 13 ans, Maleaune pendant la séance de questions devient rapidement le premier animateur de cette séance prenant la place d'Antoine Blossier réalisateur du film.
Ainsi grâce à lui nous apprenons que Daniel Auteuil "est un gros nounours" et qu'il ne pouvait pas rêver mieux comme acteur pour son premier film, que les scènes qu'il a préférées tourner sont celles avec les animaux ou encore celles ou il pleure. Le jeune acteur révèle même son secret et avoue que tout le monde pourrait être acteur : "il suffit de vivre la situation".
Antoine Blossier a quand même eu droit à une série de questions qui tout d'abord ne concernaient pas la réalisation mais les animaux. C'est comme cela que l'on sait que Darkness, Capi dans le film, est un chien très facile pour les tournages. En deux, trois prises c'est fini. Au contraire, Titus, Joli-Coeur dans le film, est un capucin plutôt capricieux n'aimant ni son costume ni le réalisateur. Anecdote : Titus met son costume et garde son chapeau, mais quand Antoine dit action, il enlève son chapeau quasiment à chaque fois ! La seule prise durant laquelle Titus doit enlever son chapeau, quand Antoine dit "action", il le garde ! pour le plus grand malheur du réalisateur.
Et pour finir quelques spectateurs, ayant reconnu la ville de Cordes sur Ciel veulent connaitre les lieux de tournage. M. Blossier dévoile donc que les tournages ont eu lieu à Albi et dans l'Aubrac.


Antoine Blossier et Maleaune Paquin en plein échange avec le public
Mathieu Chiotti

Le voyage de la vérité

L'un des plus célèbres dessins animés (qui a fait pleurer toutes les générations) est adapté au cinéma par Antoine Blossier et est diffusé aujourd'hui au Festival du Film de Sarlat.
 
"Très beau film", ému du début à la fin" disent les spectateurs en sortant.
 
Mais de quoi parle vraiment ce film ?
Rémi, incarné par Maleaune Paquin, est un enfant adopté par une mère qui le garde sans que son mari, travaillant sur Paris, le sache. C'est quand le mari, victime d'un accident du travail, est obligé de rentrer, qu'il découvre l'enfant. Il décide de l'emmener à l'orphelinat. Sur le trajet, après quelques péripéties, un homme propose de louer l'enfant. D'abord effrayé, Rémi comprend rapidement que grâce à cet homme, Vitalis, il va découvrir le goût de la chanson.
Nombreuses sont les aventures qui arrivent à ces saltimbanques. Arrestations, misère, et secrets sont les mots caractérisant leurs voyage.
 
Rémi sans famille est donc un film tragique avec des personnages attachants. 


Affiche Officielle du film Rémi sans famille
Mathieu Chiotti

Le silence de la guerre

Los Silencios de Beatriz Seigner, film en sélection Tour du Monde, a tenu en haleine le public pendant la totalité de la projection. 
En effet, ce film racontant l'histoire de réfugiés ayant fui les guérillas en Colombie, nous suivons l'arrivée et les difficultés d'une femme et son fils dans un nouveau village. Sans nouvelles de son mari et sa fille disparus, elle s'est résolue à leur mort probable. 
Le village hanté par les fantômes de la guerre qui dure depuis quatorze ans est menacé de disparition par des promoteurs immobiliers. Mais la réalisatrice rajoute du mystère en suivant les fantômes du mari et de la fille.
De problèmes économiques en problèmes familiaux, le film attise le suspens et le doute dans le cœur du spectateur.
Le public interrogé à la fin de la séance évoque un film "mystérieux mais très beau", "formidable à tous point de vue".


Affiche officielle du film Los silencios





Mathieu Chiotti

vendredi 16 novembre 2018

Je suis une Légende

Pour cette fin de festival, nous avons rencontré Jordan Blaya. Il est responsable avec Florent Brousse des petites séquences, mais il est également à l'accueil lycéen au Centre Culturel avec Christine D'Aloise, Annick Sanson et San. Ensemble, ils gèrent toute la logistique des quelques  600 lycéens et professeurs qui arrivent au Centre. Mais Jordan est également acteur ! Et pour couronner le tout, cette année est un peu spéciale pour Jordan car il doit remplacer Osange Sillioux pour le jury jeune.

Jordan va également préparer la cérémonie de clôture, la tradition voulant que le jury jeune fasse un petit sketch pour annoncer le résultat. Ce soir, à partir de 18h se déroulera la soirée lycéenne de clôture, où seront diffusées les Petites séquences (les 10 court-métrages réalisés par les équipes des lycéens). Ensuite, le jury jeune va remettre le palmarès des films du Bac et enfin procéder au tirage au sort pour faire gagner une PS4 à l'un des festivaliers. Pour parachever cette semaine de folies, la "BOUM" réunira tous les participants, soirée à laquelle tout un chacun rêve de participer...

Vous préciserait-on que Jordan, G.O., acteur, jury, est aussi assistant d'éducation au lycée Pré de Cordy et futur prof d'histoire et géographie ? On s'incline devant tant de casquettes (et de talent !) 


Jordan pendant la remise des trophés 



Clément ROSS et Mikaël PECYNA

L'incroyable Histoire du Facteur Cheval

Au Centre culturel, à 13h45, les lycéens ont eu la chance de voir L'incroyable histoire du facteur Cheval de Nils Tavernier.
Ce film raconte la véritable histoire du facteur Cheval, connu pour son palais naïf, "le Palais Idéal", une œuvre qui fut réalisée en 33 ans de travail acharné (10h par jour en plus de son travail de facteur).
Nils Tavernier ne se contente pas de nous montrer la réalisation progressive du Palais Idéal, il nous raconte aussi la vie d'un homme simple issu d'une classe plus que modeste pour qui la vie n'a pas été très tendre. 
En fin de séance, l'équipe de production a répondu aux nombreuses questions des lycéens qui peinaient à se remettre de leurs émotions, certains avaient les yeux rouges, d'autres regardaient Nils Tavernier avec admiration et cherchaient des question pertinentes les mains levées ne tardèrent pas. La curiosité des lycéens fut particulièrement intriguée par la manière dont le réalisateur a réussi à montrer le Palais au début de sa construction. Le réalisateur a expliqué que la porte d'entrée à été reproduite et qu'ils ont redessiner le Palais du facteur Cheval. Il a aussi avoué s'être inspiré de son père pour le rôle du facteur Cheval, et que sa fille fait une apparition dans le film : c'est la petite danseuse de 10 ans qui apparaît à la fin.  

A l'issue de la rencontre, les lycéens n'ont pas hésité à envahir la scène pour rencontrer le réalisateur, des étoiles plein les yeux les propos élogieux et une note maximale sur leur bulletin de vote. Les trois salles qui diffusent le film au cinéma Rex sont complètes : Nils Tavernier frappe fort... Peut-être une future Salamandre ?
 

Ludivine Blanc de La Morinerie, Mélanie Brugues

Une histoire sans fin

Pour les lycéens qui ont tourné les petites séquences, toute la semaine n'a été que rencontres, émotions, découvertes et bons moments. Mais malheureusement ce soir, c'est la fin... Cependant le programme réserve encore quelques surprises !

A 18h15, les élèves pourront assister au palmarès des films du bac, dans lequel les jurys remettront leurs prix. Ensuite les petites séquences des groupes suivis toute la semaine seront projetés. Après un dur labeur qui a duré plus de 2 mois, ces lycéens vont enfin révéler leur œuvre au grand jour ! Un premier pas dans l'univers du 7e art !

Pour clôturer le programme le programme lyen du festival, une soirée est organisée au Centre Culturel à partir de 21h. Les adolescents se retrouveront une dernière fois et garderont un grand souvenir de cette semaine unique et riche en émotion ! 

Brugues Mélanie, Blanc De La Morinerie Ludivine 

Camille notre héros !

Nous souhaitons adresser un énorme merci à Camille, l'attachée de presse rattachée à Sarlat.
Elle nous a été d'une aide très précieuse pour les interviews, les rencontres et les bons moments passés avec toutes ces équipes.
Merci, merci, merci et... ah oui... encore merci. 




Gavard Louane,Cottaz Loïs

Avec les pros !

Après des heures et des heures et des heures d'attente et de magouille, nous avons enfin pu avoir des informations intéressantes sur le film Amanda. Nous n'avons pas obtenu d'interview personnelle, mais par chance une invitation à la rencontre presse du film avec Vincent Lacoste et Mikhaël Hers. Malheureusement, nous n'avons pas pu poser nos questions, étant donné que nous étions sans cesse coupés par les journalistes. Mais, pas d'inquiétude ! Nous avons quand même les réponses aux questions posées par les personnes présentes, et donc de quoi écrire un petit article.


Vincent Lacoste nous a appris que sa réaction suite à l'attentat dans le film est exactement la même que celle qu'il a eu en réalité car il n'a pas été touché personnellement. Il était dans un bar non loin à ce moment là. Il a été pris de panique et est vite rentré chez lui comme tout ceux de son quartier.

On apprend également que la petite Isaure (Amanda dans le film) a énormément aidé Vincent à tourner son rôle. En effet, l'acteur a dit avoir eu l'impression de tourner avec une "vraie et très bonne actrice" qui a très bien joué et qui avait d'après Mikhaël "complètement compris l'enjeu du film".

Mikhaël nous a bien dit que le film était en partie fait pour montrer l'image du Paris d'aujourd'hui ainsi que pour lui rappeler son enfance. Effectivement, le réalisateur a grandi tout près de l'appartement de Sandrine (la sœur de David).

Un heureux hasard, l'origine étymologique du prénom Amanda est latine, ce prénom signifie "celle qui doit être aimée".

Pour finir, ce film est un parfait équilibre entre drame et réconciliation puisque malgré la mort tragique de Sandrine et un deuil très difficile à accepter qui entraîne beaucoup de responsabilités, le film reste fluide et on retient principalement les sourires et les bons moments. 


COTTAZ Loïs, GAVARD Louane

Un jour sans fin

Encore une fois, à 13h nos reporters sont sur le front, prêts à dégainer pour avoir les meilleures photos du "photo call". Nous ne savons plus qui est en face de nous, quelle heure il est, quel jour on est, où nous sommes, qui nous sommes... Nous savons juste quelle est notre mission : prendre en photo les gens en face de nous. Après quelques renseignements, nous découvrons qu'il s’agit de Mikahël Hers et Vincent Lacoste en promotion du film Amanda. La mission se poursuit à 18h30...


 
Mikhaël Hers et Vincent Lacoste au photo call

Mathieu Chiotti et Célia Mezergues

Tel est pris qui croyait prendre

En attendant le deuxième photo call de la journée, la photographe officielle du festival du film voulait prendre des photos de jeunes festivaliers. Nous voulions nous décaler, pour ne pas être dans le champ de vision mais elle nous a demandé de poser avec les autres jeunes. Après quelques photos, elle a demandé qui avait eu un autographe sur un sac donné pour l'occasion du festival. Heureusement, Célia en avait un. Bilan : un shooting photo complet pour cette dernière.

Emmanuelle Thiercelin et Célia en plein shooting

Mathieu Chiotti et Célia Mezergues

L'homme pressé

En ce dernier jour de festival, nous avons interrogé le délégué général de ce festival : Marc Bonduel.


 Crédit photo : Patrick Tohier

Nous lui avons posé quelques questions concernant sa profession. Malheureusement il était pressé et n'a pu répondre qu'à seulement deux questions. Dommage...

Il nous a dit qu'il avait vu tous les films pour pouvoir les sélectionner mais il n'a pu nous dire celui qu'il avait préféré pour cause de confidentialité. Il nous a aussi affirmé qu'il fallait être très passionné pour faire ce métier et que pour effectuer la sélection des films il fallait respecter différents critères (arts, qualité de l'image, émotions...)

Cette rencontre fut brève mais enrichissante d'autant plus que ce festival est son dernier.
AGODI Sofian & POURCHET Elodie

Nos Agreables Concurents

15h00 : nous avons réussi à obtenir une interview avec toute l'équipe de France Bleu.
C'est avec surprise que nous découvrons les différents métiers qui composent France Bleu Périgord. La régie, le standard, le journaliste, l'animateur et le techniciens.
Cette équipe nous a agréablement accueillis et a répondu à nos nombreuses questions. Ils nous ont confié qu'ils avaient besoin de beaucoup de temps, entre (2h et 12h) pour préparer leurs émissions. L'inattention d'une seule personne peut couter beaucoup à toute l'équipe comme nous le confirme la standardiste. 
 
Ils n'en ont pas fini avec les blogueurs, car ce soir, à 17h15, c'est Mathieu et Mélanie qui seront au micro de la radio, pour une petite présentation de notre travail au sein du blog. Bonne chance les amis !

Equipe France bleu presque au complet (sans l'ingénieur son)
Léa COSSARDEAUX
Lucas VIRGO
Morgan BOYER

C'est fini entre nous

Toute cette semaine, nous avons été très chanceux. Mais, (il y a toujours un mais), nous aurions dû avoir une interview vers 12h45 avec Mikaël Hers et Vincent Lacoste du film Amanda. Nous avons donc attendu un peu plus d'une heure. Malheureusement, leur ventre l'a emporté sur nous, et l'interview a été reportée à 14h30. A suivre ! 



Vincent Lacoste
GAVARD Louane, COTTAZ Loïs

Du rire aux larmes

Meltem, un film de la programmation tour du monde, de Basile Doganis raconte l'histoire d'une jeune française d'origine grecque qui retourne dans son pays d'origine avec deux de ses amis. Elle y retourne pour vendre la maison de sa défunte mère, habitée par son beau-père. Ces projets prendront une autre tournure à cause de la rencontre d'un migrant syrien, à la recherche de sa mère.

(Sekou, Nassim, Elena)

Ce film dénonce la vie difficile des migrants qui tentent de quitter leur pays en passant par la mer au risque de se noyer, de se faire arrêter ou pire de mourir.
C'est un film plutôt humoristique dans l'ensemble mais qui touche tout de même un sujet sensible. C'est un film émouvant mais drôle malgré tout.

L'ambiance dans la salle était assez mitigée, les spectateurs sont passés du rire aux larmes puis le film s'est fini sur un torrent d'applaudissements puis ceux-ci semblaient émus puisque personne ne s'est levé les 5 minutes suivant la fin de ce film.

Elodie Pourchet & Sofian Agodi





Cassir(mir)

Suite à la projection de Premières vacances, nous avons interviewé Patrick Cassir, le réalisateur du film. Non seulement son premier film est extraordinaire, mais Patrick est aussi très sympathique !

Jonathan Cohen est un des acteurs principaux du film. Patrick nous explique son choix. Pour lui, Jonathan est un acteur, qui, quand il joue, paraît très vrai, il est très naturel dans son rôle. 

Attention ! "Paparazade" digne de Voici : dans la vraie vie, Patrick est en couple avec Camille Chamoux, et cette histoire aurait pu potentiellement leur arriver. En effet, s'il s'identifie au personnage que joue Jonathan, Camille, elle, est réellement comme son personnage, une aventurière. Donc pour lui, que Camille joue le rôle était une évidence. Certaines scènes sont inspirées de leur quotidien.

Il explique aussi que les scènes de tournage en Bulgarie étaient beaucoup plus simples que celles à Paris, cela nous étonne énormément ! Mais la réglementation est plus souple en Bulgarie. Durant le tournage,  ils ont connu des moments de détente : ils ont par exemple eu la chance de goûter au rika, un alcool bulgare dont on parle dans le film, (apparemment ce serait très fort...).

Bien que son film soit incroyable, Patrick Cassir a quelques regrets : par exemple, pour la scène de la fête techno, il aurait préféré plus de plans larges, pour que l'on se rende compte de l'ampleur de la fête. Il nous confie aussi qu'il a été très stressé car c'était son premier film. Maintenant que le film existe, il est soulagé. 

Enfin, nous lui demandons s'il allait poursuivre dans le registre comique et il nous rétorque qu'il aime faire des comédies et que pour l'instant il préfère continuer à nous amuser.


Patrick Cassir et Camille Chamoux 


Mikaël Pecyna, Clément Ross, Lucas Virgo

La guerre des photos

Ce nouveau photo call s'est déroulé ce vendredi matin à 12h30. Nous avons eu droit à différentes poses du groupe qui représente le film L'incroyable histoire du facteur Cheval. Une nouvelle fois, tout le monde doit se démarquer pour avoir les regards des réalisateurs ou encore des acteurs. Ça crie de tous les côtés "Par ici !" "Non, non par ici !" "Non, juste  cinq minutes ICI pantalon rouge !". 

Au secours, les invités ont le tournis !

Nils Tavernier et ses producteurs dont Alexandra Fechner en plein photo call 

Mathieu Chiotti et Célia Mezergues

Champion !

La tension était à son comble quant nos reporters entrent dans le cinéma ce matin vers 11 heures. 
Les employés du cinéma accompagnés du directeur sont en pleine compétition de lancer de boulettes de papier. Chacun son tour les participants lancent une boulette de papier dans une poubelle située à 5 mètres. 
Plusieurs essais par challengeur mais aucune réussite... les pauvres...
Quand soudain M. Vialle, directeur du cinéma, se lève et annonce : "Je vous montre qui est le patron"
Suspense... 
La boulette décolle dans un arc de cercle parfait et atterrit en plein centre de la poubelle. Euphorique, il se précipite vers la porte et crie dans la rue : 

 "C'est qui le patron ?" 

En revenant, il offre une dernière chance aux employés, seule une compétitrice la saisit, va récupérer la boulette et surprise... Son patron a réalisé un double panier ! 
La boulette lancée par Arnaud Vialle avait en fait atterri par hasard dans un verre positionné dans la poubelle. Quelle agilité dans le bras, quelle adresse dans le lancer, quelle précision dans le tir ! Même Stephen Curry n'aurait pas fait mieux !

Dégoutée, la compétitrice capitule, se rassoit et le directeur est sacré champion de lancer !



 
Les compétiteurs étudiant le règlement avant la compétition
Mathieu Chiotti et Célia Mezergues

Amanda

Amanda est une comédie dramatique, centrée sur le personnage de David, un jeune parisien insouciant, dont la sœur meurt dans un attentat. Il doit alors prendre en charge sa jeune nièce, Amanda, 7 ans, alors qu'il n'avait pas du tout prévu d'assumer ce genre de responsabilité. Le troisième film de Mikhael Hers est comme d'habitude chargé d'émotion. Ce talentueux réalisateur garde de la subtilité et de la délicatesse durant la totalité du long métrage. Il tenait absolument à filmer Paris de la manière la plus simple qu'il soit, notamment près des jardins publics. C'est un très beau portrait de notre époque. Même si le film est très dur émotionnellement, il n'y a pas de scènes violentes ; il arrive à passer sous silences les moments tragiques. 

(Emma Sirey, cinéma Rex)
 
Des larmes sont versées plusieurs fois durant la séance, souvent liées au chagrin des personnages principaux. Vincent Lacoste qui joue la plupart du temps des comédies s'est parfaitement adapté à son personnage. Et la toute jeune Isaure Multrier a su nous bouleverser tant par son chagrin que par son sourire.
                                                   Clara Lucas, Emma Sirey, Louane Gavard, Lois Cottaz

L'Arroseur arrosé

En attendant la conférence du film Amanda, au cinéma de Sarlat, nous nous sommes fait interroger par une journaliste de Sud Ouest. Elle nous a demandé ce que nous avons pu penser des films que nous avons vus. Mathieu a ensuite eu droit à un shooting intégral ! Il s'est découvert une nouvelle passion : le mannequinat. Résultat à voir sur le journal ou sur le site internet de Sud Ouest.

Mathieu se faisant prendre en photo par une journaliste

Mathieu Chiotti et Célia Mezergues

Merci patron !

Aujourd'hui, nous avons eu l'opportunité de rencontrer le président du Festival du Film : Pierre Henri Arnstam. C'est un homme généreux et accessible. Nous voulions lui poser plusieurs questions mais ce dernier n'avait pas le temps requis. Il a tout de même pu nous donner quelques informations.

Pierre Henri Arnstam - Crédit photo : Jean-Paul Epinette

Au fil des années le festival a été de plus en plus facile à organiser, d’autant plus qu'au début de la création du Festival du Film, il n'y avait principalement que des films humoristiques ; maintenant les types de films sont plus variés afin de satisfaire le plus de personnes possibles ayant des goûts différents.

Durant cette semaine de festival, il est arrivé un petit "gag" pas très amusant pour la "victime". La radio France Bleu organise chaque année un concours afin de faire gagner une invitation pour la cérémonie de clôture du Festival ainsi qu'une nuit dans un hôtel. Seul petit bémol le gagnant n'a jamais reçu l'e-mail d'invitation ! Heureusement que celui-là a pensé à appeler le cinéma pour avoir des explications. 

Malheureusement, à cause du blocage des routes du samedi 17 novembre plusieurs réservations ont été annulées de peur de ne pas pouvoir avoir accès à ces routes menant au Festival. 

 Sofian Agodi & Elodie Pourchet

Pré de Vote

Le public va voter pour le meilleur film, et les lycéens vont attribuer les prix d'interprétation masculine et féminine. 
Nous avons voulu connaître les premières tendances, et voici le palmarès :


Meilleurs acteurs :
1- Thomas Solivérès
2- Pierre Niney
3- Vianney

Thomas Solivérès


Meilleurs films :
1- Edmond
2- Sauver ou Périr
3- Ma mère est folle
  


Affiche d'Edmond
  
COTTAZ Loïs, GAVARD Louane

Fast and Curious



11h00 : rencontre avec le directeur et patron du cinéma de Sarlat, Arnaud Vialle.  il nous a expliqué comment se déroulait l'organisation de ce festival qui débute à la fin du festival de Cannes. Les films, pour la plupart, sont choisis durant le festival de Cannes par Marc Bonduel et Arnaud Vialle.
Inviter des célébrités est parfois compliqué suivant leurs emplois du temps mais jamais aucune célébrité disponible n'a refusé l'invitation.    

Nous lui avons proposé ensuite un quizz sous forme de fast & curious.




extrait du quizz fast&curious avec Arnaud Vialle  


Fast&curious : le speaker est assis face caméra. On lui propose une série de mot à choisir, entre deux options sans lui laisser le temps de réflexion. Le speaker a le droit à un seul joker durant la totalité du quizz (Selon Kombini)


 
Edmond ou Sauver ou Périr
Thomas Soliveres ou Pierre Niney
Radio Valée Vézère ou France Bleu Périgord
Luxe ou aventure
Comédie ou tragédie
Pop corn salé ou sucré
Film ou série
Spielberg ou Tarantino
 De Funès ou Galabru
Apple ou Androïd
Soirée ouverture ou soirée de clôture
Bobine ou numérique
Bière blonde ou bière brune
Film science fiction ou film réaliste
Barbe ou moustache
Salamandre d'or ou César



*rouge = réponse speaker

*vert = le joker


Léa COSSARDEAUX
Lucas VIRGO
Morgan BOYER






Projection

Une belle rencontre ce jeudi au festival : le projectionniste du cinéma et un prestataire vidéo, tous deux très sympathiques ! 
Alain Jouanel, le projectionniste, exerce un métier auquel il n'était pas destiné. Maçon de formation, il est arrivé dans le métier par hasard, pour aider un ami. Maintenant, cela fait 23 ans qu'il travaille aux côtés des machines. 

Laurent Claude, le prestataire vidéo, a transformé sa passion en un métier. Il a commencé par ingénieur du son, avec un studio d'enregistrement mobile, il s'occupait des lives d'orchestres par exemple. Il a fini par prendre contact avec quelqu'un qui lui a proposé en plus du son, d'enregistrer l'image. Maintenant il possède 8 caméras (il a commencé avec une Sony PD170).

Qu'est-ce qu'un projectionniste ? 

C'est celui qui gère la projection, le film et les machines. Les films arrivent de Paris jusqu'au cinéma et ensuite Alain s'occupe de les projeter. 

Qu'est-ce qu'un prestataire vidéo ? 

C'est un métier indépendant du cinéma. il s'occupe de la retransmission des débats. Il installe une régie un peu comme un plateau télé. Le prestataire s'occupe notamment de la retransmission des échanges entre les équipes des films et le public depuis la salle 1 du Rex vers les autres salles.
Merci à ces deux personnes passionnées par leur métier de nous avoir fait découvrir leur univers !


 Alain Jouanel et Laurent Claude pendant l'interview

Clément Ross, Mikaël Pecyna